Entre Duinkerken et Flandre intérieure (06/06/2009)
Petit clin d’œil à un Dunkerquois fou de San Antonio et auteur de trois polars dont l’action se déroule en Flandre française.
Petit portrait
Pourquoi San Antonio n’a-t-il jamais mis les pieds en Flandre ?
Maxime Gillio est publié par les éditions Ravet Anceau (des polars au prix d'un livre de poche). Après avoir situé ses deux premières histoires à Dunkerque (Bienvenue à Dunkerque, n°14, 2007 et L’Abattoir dans la dune, n° 26, 2008), il emmène son enquêteur dans la Flandre intérieure :
Le Cimetière des morts qui chantent
(n° 41, 2009)
Alors qu’il creusait une tombe dans un cimetière des Flandres, Jean-Pierre Claeneboo, fossoyeur, heurte une bombe qui pulvérise les lieux et le pauvre homme. Les analyses montrent qu’il ne s’agissait pas d’obus, comme on en trouve beaucoup dans le coin, mais de mines anti-char russes placées là intentionnellement. On parle d’attentat et au vu de l’importance du dossier, la gendarmerie locale est dessaisie de l’affaire au profit de la criminelle et c’est Stéphane Marquet qui hérite du dossier. Une fois sur place, il se heurte à l’hostilité des trois frères restant qui refusent de parler mais d’autres personnes plus loquaces, la femme de ménage notamment, lui apprennent que la maison a été fouillée par un inconnu juste après l’attentat. Après le décès de l’aîné dans un accident de voiture une semaine auparavant, la vengeance devient un mobile évident pour Marquet.
20:08 | Lien permanent | Tags : maxime gillio, san antonio, flandre, ravet anceau | Facebook | Imprimer |