Table ronde sur la traduction (01/06/2020)
La traduction de témoignages liés à la Shoah
Les ouvrages évoqués
Hélène Berr, Journal, Tallandier, 2011, traduit en anglais par David Bellos.
Georges Perec, W ou le Souvenir d’enfance, Denoël, 1975, traduit en anglais par David Bellos.
Hélène Berr, Journal, Tallandier, 2011, traduit en néerlandais par Marianne Kaas.
Fabrice Humbert, L’Origine de la violence, Le Passage, 2009, traduit en néerlandais par Marianne Kaas
Carl Friedman, Mon père couleur de nuit, traduit du néerlandais par Mireille Cohendy, Denoël, 2001.
Harry Mulisch, L’Affaire 40/61, traduit du néerlandais par Mireille Cohendy, Gallimard, coll. « Arcades », 2003.
Anne Frank, L’Intégrale, traduit du néerlandais par Philippe Noble et Isabelle Rosselin, Calmann Lévy, 2017.
Etty Hillesum, Les Écrits. Journaux et lettres. 1941-1943, traduit du néerlandais par Philippe Noble et Isabelle Rosselin, Le Seuil, coll. « Opus », 2008.
Evelien van Leeuwen, Modeste in memoriam. Souvenirs lointains, traduit du néerlandais par Daniel Cunin, Le Rocher, 2007.
Philip Mechanicus, Cadavres en sursis. Journal du camp de Westerbork, traduit du néerlandais par Daniel Cunin, Notes de Nuit, 2016.
Bande son du documentaire sur Philip Mechanicus
réalisé par Fabian Gastellier - voix de Jean-Claude Dauphin
19:17 | Lien permanent | Tags : traduction, shoah, littérature, georges perec, hélène berr, fabrice humbert, carl friedman, harry mulisch, anne frank, etty hillsesum, evelien van leeuwen, philippe mechanicus, désirée schyns, david bellos, mireille cohendy, daniel cunin, marianne kaas, philippe noble, fabian gastellier, jean-claude dauphin | Facebook | Imprimer |