Édouard Rod sur Maeterlinck, traducteur (01/08/2014)
Rêveries sur un livre mystique
L’Ornement des noces spirituelles, traduction d’une des œuvres de Ruysbroeck (ou Jan van Ruusbroec) par Maurice Maeterlinck a eu un grand retentissement. On la lit toujours, elle a encore été rééditée en 1990, soit un siècle après sa parution, alors que venait de voir le jour chez Brepols l’édition de référence, à savoir le volume III des œuvres complètes du mystique flamand : Opera omnia III. Die geestelike brulocht. De ornatu spiritualium nuptiarum (1988, texte moyen néerlandais annoté et présenté en regard de la traduction latine de Sirius et d’une nouvelle traduction anglaise).
Parmi les écrivains qui ont tout de suite manifesté leur enthousiasme, on relève le Suisse Édouard Rod (1857-1910). C’est sa critique accueillie en page 3 de la Gazette de Lausanne du 2 mai 1891 que nous reproduisons ci-dessous.
The Blue Bird (1918) de Maurice Tourneur d'après M. Maeterlinck
Béatrice Arnac chante Et s'il revenait un jour de M. Maeterlinck
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