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Entretiens - Page 4

  • Le Traducteur amoureux (1)

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    Parole aux traducteurs

     

     

    traduction littératire,entretiens avec des traducteurs

    La Machine à traduire (Les Shadoks)

     

     


    Avant de donner à la paroles à des traducteurs de divers horizons, écoutons Jacques Gélat, auteur des romans Le Traducteur (2006) et Le Traducteur amoureux  (2010) publiés aux éditions José Corti.


     

     

    Entretien avec Claude Porcell (1946-2008), traducteur, à propos de son travail sur les pièces de Thomas Bernhard


     

    Philippe Jaccottet. Traduire pour vivre


     

    Robert Davreu, traduire Sophocle

    Robert Davreu sur James James Cañón (Dans la ville des veuves intrépides)

     

     

    Maria Efstathiadi à propos de l’écriture et de la traduction

     


    Arthur Langerman à propos de sa traduction du yddish d’un recueil de nouvelles de Sholem Aleikhem (1859-1916). Entretien radio 
    : ICI 

     

    Brice Matthieussent à propos de son roman Vengeance du traducteur


     

    Entretien avec Alain Walter, traducteur de l’œuvre du poète japonais Bashô

     

    Georges Nivat, traducteur de Soljenitsyne


     

    Pascal Collin à propos de sa traduction de Hamlet mise en scène par David Bobée

     

    Interview de Régis Boyer

     

    Petit entretien au bar à vin : Andreï Kourkov et son traducteur Paul Lequesne    

     

    Entretien avec Nicolas Richard, traducteur de Vice Caché de Thomas Pynchon

     

    Georges-Arthur Goldschmidt à propos de traductions de classiques allemands

     

    Annie Curien : la traduction comme expérience d'un cheminement - à propos de la traduction de poèmes de Leung Ping-kwan

     

     

    Voir aussi

    L’écrivain Hugo Loetscher s’exprime sur l’importance de la traduction de ses livres en français : ICI

    les entretiens à propos du film Traduire de Nurith Aviv

    divers entretiens sur le blog du CITL et sur ce blog : ici, iciici, ici & ici.

     

     

  • Le Passage à l'Europe (3)

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    Réception de l’ouvrage de Luuk van Middelaar (suite)

     

     

    « L’Europe, une grande histoire qui ‘‘nous’’ concerne » 


    luuk van middelaar,le passage à l'europe,gallimard,pays-basJamais plus qu’aujourd’hui il ne sera sans doute opportun de souligner la saisissante actualité du livre Pavane pour une Europe défunte du philosophe Jean-Marie Benoist qui éclaire la crise dans laquelle l’Europe se trouve actuellement plongée. Plus de trente ans après sa publication, sa lecture, en effet, ne saurait manquer d’étonner le lecteur tant l’appréciation que son auteur y fait d’une Europe enlisée dans sa marche, qui ne l’empêche pas pour autant de lancer un appel, une adjuration pressante à ne pas y renoncer, coïncide avec le constat navré que nous pouvons faire aujourd’hui sur l’édification d’une Europe politique ébranlée par la crise financière de sa monnaie unique. Et cela au moment où se désigne à notre attention un livre de réflexion racontant la genèse de cet ordre politique européen intitulé Le Passage à l’Europe et sous-titré Histoire d'un commencement du philosophe et historien néerlandais Luuk Van Middelaar d’après qui le mouvement de ce passage à l’Europe, qui n’est en rien un « bond » mais le résultat de l’action commune de la France et de l’Allemagne, se décompose en trois temps, depuis les années de la fondation (1950-1957), en passant par le séjour dans la Communauté (1958-1989) jusqu’à l’époque qui court après la chute du mur de Berlin (1989 à aujourd’hui), grand événement à la fois « indéfinissable et bouleversant », dont le choc géopolitique a chargé le mot « Europe » de nouvelles significations en même temps qu’il aura poussé les Européens de l’Ouest à tenir un nouveau rôle. […]

    Quoi qu’il en soit, toute la question pour Luuk Van Middelaar est de savoir si « les motifs politiques du vivre-ensemble dament en dernier ressort le pion aux intérêts économiques ». Une évidence, voudrait-on croire, mais quiconque lit les commentaires suscités par la crise constate que tel n’est pas le cas. Aussi plus que jamais le véritable enjeu de l’Europe est-il bel et bien là. Luuk Van Middelaar, dont l’ouvrage est certainement le seul (et pourtant il n’en a pas manqué) qui puisse contribuer aussi efficacement à la compréhension des événements des soixante dernières années de l’Union européenne […]

    Eryck de Rubercy, « L’Europe, une grande histoire qui ‘‘nous’’ concerne », La Revue des Deux Mondes, avril 2012.

     

     

    Entretien avec Luuk van Middelaar à la librairie Filigranes

    (2 parties)

     

     

    « Le ‘‘secret de la table’’ »


    Le Passage à l’Europe de Luuk van Middelaar est l’un de ces livres qui permet de prendre du recul dans un débat européen qui se donne le prochain sommet européen, lequel a maintenant lieu presque chaque mois, comme horizon. À l’obsession du présent, et d’un futur proche toujours présenté comme menaçant, il répond par une analyse à la fois historique, philosophique et sociologique des soixante dernières années de construction européenne. Et c’est probablement le grand mérite de ce livre qui, par ailleurs, est consacré à une institution de plus en plus centrale et néanmoins méconnue qu’est le Conseil Européen, composé des chefs d’États et de gouvernements.

    Analyse historique du rôle des États dans la construction européenne, le livre repose sur l’idée qu’une sphère des États membres serait en cours de formation et occuperait l’espace existant entre la sphère communautaire (comprenant les institutions européennes) et la sphère des États européens (dont tous ne sont pas membres de l’UE). « Ici, le mouvement naît (comme dans la sphère externe) de la recherche par chaque État de son intérêt particulier, mais aussi (là réside la surprise) d’une conscience croissante d’un intérêt commun. » L’analyse historique de l’auteur tente de montrer que dès les moments fondateurs, les Ministres européens agirent ensemble « en tant que club » en dehors des compétences limitées des traités initiaux. À travers plusieurs crises, Luuk van Middelaar démontre combien cette dynamique de club a engendré un mouvement dont les États ne peuvent plus se départir, mouvement qui est tant une opportunité qu’une contrainte puisque les États membres sont en quelques sortes condamnés les uns aux autres. L’auteur revient ainsi sur plusieurs moments symptomatiques du « passage à l’Europe », crise de la chaise vide ou Convention pour l’avenir de l’Europe en s’appuyant sur un vaste renfort de détails historiques souvent peu mis en avant par les manuels. [lire la suite]

    Philippe Perchoc, « Le '''secret de la table'' », nonfiction.fr 

     

     

     « Si l’Europe m’était contée »


    luuk van middelaar,le passage à l'europe,gallimard,pays-bas« On ne partagera pas forcément la position de l’auteur. Un fédéraliste trouvera que son explication du rôle et de l'importance de la sphère intermédiaire ressemble à une justification. Quant à son exposé sur la nécessité de laisser le temps faire son travail, il peut apparaître comme de la complaisance aux yeux de ceux qui s’impatientent face à la lenteur avec laquelle se construit l’Europe, perdant ainsi du terrain dans un monde qui évolue rapidement. Cela dit, Luuk van Middelaar se défend de prendre parti. Il veut simplement décrire les mécanismes à l’œuvre pour mieux les comprendre, et ainsi agir plus efficacement. Mieux faire est déjà un pas vers le paradis... En tout cas, voici un livre d’histoire et de philosophie politique très bien écrit, ce qui ne gâche rien, et dont la lecture est stimulante. »

    Mariano Fandos, « Si l’Europe m’était contée », Syndicalisme Hebdo, 11/05/2012

     

     

    Europe : pour y voir clair, par Jacques Pilet

    On est pour, on est contre. Mais que sait-on au juste de l’histoire de l’Europe, de son véritable état actuel ? L’actualité économique obscurcit le champ politique. Un jeune historien et philosophe néerlandais, Luuk van Middelaar, raconte cette expérience unique en mots simples et percutants: Le Passage à l’Europe, histoire d’un commencement. Utile pour dépasser les clichés.



    Dans Le Passage à l’Europe, le philosophe et historien néerlandais Luuk van Middelaar analyse la formation de cet étrange objet politique qu’est l’Union européenne. Profond et critique, réaliste et souvent drôle, ce « passage » décrit les soixante dernières années comme un « commencement », qui s’est accéléré avec la crise de l’euro. 


    Dans votre livre, vous moquez les efforts de la Commission européenne pour mettre en œuvre ce que vous appelez la « stratégie allemande » visant à fabriquer une « nation européenne » fondée sur l’identité et la culture... par opposition à la stratégie « romaine », fondée sur le clientélisme, et à la grecque, qui s’appuie sur le vote démocratique...

    Je suis un peu ironique, en effet... et Bruxelles manque d’humour. Il fallait trouver un ton libre pour casser les discours en place et poser des questions fondamentales sur ce qu’est l'autorité ou la fondation d’un ordre politique. Je ne nie pas toutefois que le sentiment du « nous » européen ne peut provenir que d’une identité commune. Il y a bien quelque chose qui se dessine à partir du XVe siècle où l’on identifie l’Europe à une partie du monde, la nôtre. Robert Schuman ne l’a pas inventé le 9 mai 1950. Cela a pu marcher parce qu’on a mobilisé une conscience souterraine, l’idée que quelque chose comme l’Europe existe à travers sa diversité.

    […]

    N’est-ce pas trop demander aux dirigeants nationaux d’avoir un double rôle de défenseurs des intérêts nationaux à Bruxelles et de représentants de l’Union européenne chez eux ?

    Voir la chancelière allemande Angela Merkel arriver le soir à Bruxelles au Conseil européen, alors qu’elle s’expliquait le matin devant Bundestag à Berlin a quelque chose de fascinant. Cela renforce la politique européenne. Des gens se sont inquiétés ces deux dernières années du rôle croissant des dirigeants nationaux. Mais c’est lié à la crise. Les décisions étaient si importantes qu’il fallait que les chefs d’État et de gouvernement s’en mêlent. Nous n’assistons pas à une renationalisation de la politique européenne, mais à une européanisation des politiques nationales. En ce sens, nous vivons un vrai moment de passage.

    Florence Autret, entretien avec l’auteur, « Une européanisation des politiques nationales », La Tribune, 20-26/05/2012

     

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    Un entretien à lire sur la Toile, mené par François Quinton : nonfiction.fr

     

     « L’Europe s’est forgée par des moments de rupture », entretien mené par Olivier Guez


    Entretien radiophonique : « Luuk van Middelaar : Europe, genèse d’un renouveau ? » présenté par Rémi Praud et Anne-Sophie Michel


  • Dominique Rolin (1913-2012)

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    Un entretien

    avec Dominique Rolin (19/03/1982)

     

     

    Jacques De Decker rend visite à la romancière Dominique Rolin à qui l’on doit entre autres L’Enragé (1978), autobiographie apocryphe de Pieter Brueghel l’Ancien, et Dulle Griet (1977), livre dans lequel elle s’identifie à Margot la Folle, la femme cuirassée du célèbre tableau du peintre flamand. De la mort, de l’humour, de la Flandre, de Dostoïevski… au fil d’un retour sur L’Infini chez soi (1980) et Le Gâteau des morts (1982).

     

     

    Dominique Rolin fille de Breughel

     

     

    dominique rolin,jacques de decker,flandre,brueghelCloué sur son lit d’agonie par un rhumatisme articulaire qui l’empêchera à jamais de peindre, Brueghel se rappelle sa vie. Première enfance paysanne, atelier d’un maître célèbre, paysages et peintures des Flandres puis d’Italie, villes déchirées par la répression espagnole, huma- nité grouillante, femmes qu’il a aimées... vie transformée en œuvre.

     

     

     

    Dominique Rolin, entre fiction et réalité (entretien radio)

     

     chronique de Jacques De Decker sur Dominique Rolin

    podcast

     

     

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  • La Vengeance de Baudelaire

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    Un entretien avec Bob Van Laerhoven

     

    « En Flandre, le roman policier de qualité

    doit encore conquérir ses lettres de noblesse. »

     

      

    En 2007, De wraak van Baudelaire (La Vengeance de Baudelaire) se voyait récompensé par le prix Hercule Poirot du meilleur roman à suspense flamand. Ce roman policier historique qui présente certains parallèles wraak3.pngavec L’Homme aux lèvres de saphir sans rien avoir à lui envier – l’intrigue basée sur des vers de Baudelaire et un secret familial paraît même plus subtile que celle conçue par Hervé Le Corre autour de Lautréamont – nous donne l’occasion de nous entre- tenir avec son auteur, un écrivain globe-trotter qui, en un quart de siècle, a abordé tous les genres qu’offre la prose (voir en français ou en anglais et l'éditeur Houtekiet).

     

    Wraak1.jpg

      

    D.C. : Deux mots peut-être sur la situation du roman policier en Flandre.

    BVL : Bien que les genres littéraires aient tendance à se confondre toujours plus, la critique flamande a du mal à reconnaître les polars ou les thrillers comme des œuvres au sens plein du terme. Cela tient à la popularité d’auteurs tels que Pieter Aspe et Luc Deflo – je pourrais mentionner d’autres noms – qui, en professionnels laborieux, offrent à un large public des polars et des thrillers du cru dénués de réelle ambition littéraire. À l’étranger, le thriller de qualité est reconnu en tant wraak4.jpgque tel, on voit apparaître de plus en plus de formes hybrides ; la Flandre, elle, reste à la traîne. Pieter Aspe est de loin l’auteur qui affiche, tous secteurs confondus, les meilleurs chiffres de vente. Il détermine l’image du genre policier, le réduisant ainsi à de la simple lecture distrayante.

    Pourtant, depuis quelques années, polars et thrillers flamands bien plus ambitieux se multiplient. Quand La Vengeance de Baudelaire a remporté en 2007 le prix Hercule Poirot du meilleur roman policier, j’ai eu l’occasion de défendre dans les médias la valeur littéraire de ces nouvelles productions. Comme tout romancier, un auteur de polars ou de thrillers « littéraires » s’efforce d’écrire dans un style élégant et subtil en mettant en scène des personnages fouillés avec lesquels il s’identifie et en élaborant une histoire surprenante qui offre plusieurs niveaux de lecture. La seule différence avec le roman au sens strict du terme, pour autant qu’il y en ait une, réside dans la présence d’une intrigue prenante synonyme de suspense.

     

    D.C. : C’est le défi que vous avez essayé de relever dans vos plus récents romans ?

    baudelaire,bob van laerhoven,roman policier,flandre,belgiqueBVL : Oui, et j’espère y être parvenu avec La Vengeance de Baudelaire et Retour à Hiroshima (2010), également nominé pour le prix Hercule Poirot. La Vengeance de Baudelaire est un roman policier historique dont l’action se déroule dans le Paris assiégé par l’armée prussienne (1870). La crème de la société tente d’échapper à la situation désespérée en organisant des orgies et des séances de spiritisme. Les ouvriers et les pauvres sont pris au piège comme des rats. Bientôt circulent des histoires étranges sur des actes de cannibalisme qui se seraient produits dans des venelles de la capitale. Les tensions sociales atteignent leur paroxysme en raison des hésitations et de la faiblesse de Napoléon III, de l’attitude hautaine des industriels et du gratin de la ville, des maladresses des généraux. Dans ce pandémonium, quotidiens et hebdomadaires usent de leur popularité croissante et donc de leur pouvoir pour monter en épingle des crimes étranges et en tirer une histoire pleine de mystère et de sang afin de distraire les masses des injustices et de la guerre. Ces meurtres, qui se suivent à un rythme soutenu, ont une chose en commun : sur chaque cadavre, on découvre quelques vers de Charles Baudelaire, poète vomit de son vivant, mais qualifié de génie trois ans après sa mort. Le commissaire Lefèvre, qui a combattu en Algérie, est chargé de résoudre cette énigme ; mais il se trouve bientôt, avec son assistant mélancolique Bouveroux, empêtré dans un drame familial qui a des ramifications jusqu’à la cour et qui symbolise les excès des Temps Nouveaux. Au cours de son enquête, le commissaire doit faire face à la débauche effrénée et de plus en plus répandue que ni l’Église ni l’État ne sont plus à même de réprimer et qui met en échec les principes moraux de la religion et de la société.

     

    D.C. : Dans quelle mesure La Vengeance de Baudelaire est-elle un hommage au poète ?

    wraak5.pngBVL : Il s’agit avant tout d’un hommage à son univers poétique et à ses vues sur le langage et l’art. Vers la fin du XIXe siècle, on assiste certes à un accroissement des différences entre les classes sociales, mais on est surtout en présence d’une remise en cause du monde tel qu’on l’envi- sageait jusqu’alors. Le modernisme se répand, les arts abandonnent les sentiers battus pour revêtir un tour révolutionnaire qui donne des haut-le-cœur à la bourgeoisie imbue d’elle-même. Penseurs et artistes prônent un nouveau mode de vie. Les ouvriers défendent leurs droits. La guerre qui est aux portes de la capitale favorise la décadence générale. On est à la veille de la Commune.

     

    D.C. : Vous accordez une belle place au contexte historique tout en y insérant le passé familial de Baudelaire.

    BVL : Oui, et j’ai tiré profit de cette toile de fond – la situation de siège – pour accroître la part du suspense. Les motivations de l’assassin mystérieux apparaissent progressivement au grand jour : elles ont leur source dans des relations familiales gauchies et des déviations sexuelles. Malgré ce contexte historique, La Vengeance de Baudelaire est un roman de notre époque. Écrit dans un style inspiré par Flaubert, il se révèle, par l’élan de la narration et les dissections psychologiques, d’une grande actualité. Les profonds désirs qui animent une période confuse et troublée, l’idéal d’un monde plus juste, l’amertume et la colère des plus Wraak1.jpgpauvres demeurent des thèmes actuels. Pour le reste, La Vengeance de Baudelaire apparaît comme une histoire de poètes, de voleurs et de diables, une descente palpitante et tragique dans l’enfer du mal, dans le mensonge, la tromperie, la vengeance et les représailles.

     

    Un extrait de La Vengeance de Baudelaire (traduction de Marie Hooghe)

     

    Après l'attribution du prix Hercule Poirot à La Vengeance de Baudelaire, un critique a écrit : « Si le jury des prochaines éditions du prix Hercule Poirot se détermine à l’aune de ce roman, les auteurs flamands de polars et de thrillers ont du souci à se faire. »

     

  • Flandre et Hollande selon Paul Morand

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    Bains de mer

    sur les côtes belges et hollandaises

     

     

    Flandre, Hollande, Belgique, Paul Morand, littérature

    Paul Morand, Bains de mer, Arléa, 1990

     

     

     

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    (p. 114-116)

     

    entretien Paul Morand - Pierre Lhoste 
     

     

    entretien avec Paul Morand sur le site de l'INA ici & ici

     

     

     

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