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flandres-hollande - Page 54

  • Le Passage à l'Europe (3)

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    Réception de l’ouvrage de Luuk van Middelaar (suite)

     

     

    « L’Europe, une grande histoire qui ‘‘nous’’ concerne » 


    luuk van middelaar,le passage à l'europe,gallimard,pays-basJamais plus qu’aujourd’hui il ne sera sans doute opportun de souligner la saisissante actualité du livre Pavane pour une Europe défunte du philosophe Jean-Marie Benoist qui éclaire la crise dans laquelle l’Europe se trouve actuellement plongée. Plus de trente ans après sa publication, sa lecture, en effet, ne saurait manquer d’étonner le lecteur tant l’appréciation que son auteur y fait d’une Europe enlisée dans sa marche, qui ne l’empêche pas pour autant de lancer un appel, une adjuration pressante à ne pas y renoncer, coïncide avec le constat navré que nous pouvons faire aujourd’hui sur l’édification d’une Europe politique ébranlée par la crise financière de sa monnaie unique. Et cela au moment où se désigne à notre attention un livre de réflexion racontant la genèse de cet ordre politique européen intitulé Le Passage à l’Europe et sous-titré Histoire d'un commencement du philosophe et historien néerlandais Luuk Van Middelaar d’après qui le mouvement de ce passage à l’Europe, qui n’est en rien un « bond » mais le résultat de l’action commune de la France et de l’Allemagne, se décompose en trois temps, depuis les années de la fondation (1950-1957), en passant par le séjour dans la Communauté (1958-1989) jusqu’à l’époque qui court après la chute du mur de Berlin (1989 à aujourd’hui), grand événement à la fois « indéfinissable et bouleversant », dont le choc géopolitique a chargé le mot « Europe » de nouvelles significations en même temps qu’il aura poussé les Européens de l’Ouest à tenir un nouveau rôle. […]

    Quoi qu’il en soit, toute la question pour Luuk Van Middelaar est de savoir si « les motifs politiques du vivre-ensemble dament en dernier ressort le pion aux intérêts économiques ». Une évidence, voudrait-on croire, mais quiconque lit les commentaires suscités par la crise constate que tel n’est pas le cas. Aussi plus que jamais le véritable enjeu de l’Europe est-il bel et bien là. Luuk Van Middelaar, dont l’ouvrage est certainement le seul (et pourtant il n’en a pas manqué) qui puisse contribuer aussi efficacement à la compréhension des événements des soixante dernières années de l’Union européenne […]

    Eryck de Rubercy, « L’Europe, une grande histoire qui ‘‘nous’’ concerne », La Revue des Deux Mondes, avril 2012.

     

     

    Entretien avec Luuk van Middelaar à la librairie Filigranes

    (2 parties)

     

     

    « Le ‘‘secret de la table’’ »


    Le Passage à l’Europe de Luuk van Middelaar est l’un de ces livres qui permet de prendre du recul dans un débat européen qui se donne le prochain sommet européen, lequel a maintenant lieu presque chaque mois, comme horizon. À l’obsession du présent, et d’un futur proche toujours présenté comme menaçant, il répond par une analyse à la fois historique, philosophique et sociologique des soixante dernières années de construction européenne. Et c’est probablement le grand mérite de ce livre qui, par ailleurs, est consacré à une institution de plus en plus centrale et néanmoins méconnue qu’est le Conseil Européen, composé des chefs d’États et de gouvernements.

    Analyse historique du rôle des États dans la construction européenne, le livre repose sur l’idée qu’une sphère des États membres serait en cours de formation et occuperait l’espace existant entre la sphère communautaire (comprenant les institutions européennes) et la sphère des États européens (dont tous ne sont pas membres de l’UE). « Ici, le mouvement naît (comme dans la sphère externe) de la recherche par chaque État de son intérêt particulier, mais aussi (là réside la surprise) d’une conscience croissante d’un intérêt commun. » L’analyse historique de l’auteur tente de montrer que dès les moments fondateurs, les Ministres européens agirent ensemble « en tant que club » en dehors des compétences limitées des traités initiaux. À travers plusieurs crises, Luuk van Middelaar démontre combien cette dynamique de club a engendré un mouvement dont les États ne peuvent plus se départir, mouvement qui est tant une opportunité qu’une contrainte puisque les États membres sont en quelques sortes condamnés les uns aux autres. L’auteur revient ainsi sur plusieurs moments symptomatiques du « passage à l’Europe », crise de la chaise vide ou Convention pour l’avenir de l’Europe en s’appuyant sur un vaste renfort de détails historiques souvent peu mis en avant par les manuels. [lire la suite]

    Philippe Perchoc, « Le '''secret de la table'' », nonfiction.fr 

     

     

     « Si l’Europe m’était contée »


    luuk van middelaar,le passage à l'europe,gallimard,pays-bas« On ne partagera pas forcément la position de l’auteur. Un fédéraliste trouvera que son explication du rôle et de l'importance de la sphère intermédiaire ressemble à une justification. Quant à son exposé sur la nécessité de laisser le temps faire son travail, il peut apparaître comme de la complaisance aux yeux de ceux qui s’impatientent face à la lenteur avec laquelle se construit l’Europe, perdant ainsi du terrain dans un monde qui évolue rapidement. Cela dit, Luuk van Middelaar se défend de prendre parti. Il veut simplement décrire les mécanismes à l’œuvre pour mieux les comprendre, et ainsi agir plus efficacement. Mieux faire est déjà un pas vers le paradis... En tout cas, voici un livre d’histoire et de philosophie politique très bien écrit, ce qui ne gâche rien, et dont la lecture est stimulante. »

    Mariano Fandos, « Si l’Europe m’était contée », Syndicalisme Hebdo, 11/05/2012

     

     

    Europe : pour y voir clair, par Jacques Pilet

    On est pour, on est contre. Mais que sait-on au juste de l’histoire de l’Europe, de son véritable état actuel ? L’actualité économique obscurcit le champ politique. Un jeune historien et philosophe néerlandais, Luuk van Middelaar, raconte cette expérience unique en mots simples et percutants: Le Passage à l’Europe, histoire d’un commencement. Utile pour dépasser les clichés.



    Dans Le Passage à l’Europe, le philosophe et historien néerlandais Luuk van Middelaar analyse la formation de cet étrange objet politique qu’est l’Union européenne. Profond et critique, réaliste et souvent drôle, ce « passage » décrit les soixante dernières années comme un « commencement », qui s’est accéléré avec la crise de l’euro. 


    Dans votre livre, vous moquez les efforts de la Commission européenne pour mettre en œuvre ce que vous appelez la « stratégie allemande » visant à fabriquer une « nation européenne » fondée sur l’identité et la culture... par opposition à la stratégie « romaine », fondée sur le clientélisme, et à la grecque, qui s’appuie sur le vote démocratique...

    Je suis un peu ironique, en effet... et Bruxelles manque d’humour. Il fallait trouver un ton libre pour casser les discours en place et poser des questions fondamentales sur ce qu’est l'autorité ou la fondation d’un ordre politique. Je ne nie pas toutefois que le sentiment du « nous » européen ne peut provenir que d’une identité commune. Il y a bien quelque chose qui se dessine à partir du XVe siècle où l’on identifie l’Europe à une partie du monde, la nôtre. Robert Schuman ne l’a pas inventé le 9 mai 1950. Cela a pu marcher parce qu’on a mobilisé une conscience souterraine, l’idée que quelque chose comme l’Europe existe à travers sa diversité.

    […]

    N’est-ce pas trop demander aux dirigeants nationaux d’avoir un double rôle de défenseurs des intérêts nationaux à Bruxelles et de représentants de l’Union européenne chez eux ?

    Voir la chancelière allemande Angela Merkel arriver le soir à Bruxelles au Conseil européen, alors qu’elle s’expliquait le matin devant Bundestag à Berlin a quelque chose de fascinant. Cela renforce la politique européenne. Des gens se sont inquiétés ces deux dernières années du rôle croissant des dirigeants nationaux. Mais c’est lié à la crise. Les décisions étaient si importantes qu’il fallait que les chefs d’État et de gouvernement s’en mêlent. Nous n’assistons pas à une renationalisation de la politique européenne, mais à une européanisation des politiques nationales. En ce sens, nous vivons un vrai moment de passage.

    Florence Autret, entretien avec l’auteur, « Une européanisation des politiques nationales », La Tribune, 20-26/05/2012

     

    luuk van middelaar,le passage à l'europe,gallimard,pays-bas

     


    Un entretien à lire sur la Toile, mené par François Quinton : nonfiction.fr

     

     « L’Europe s’est forgée par des moments de rupture », entretien mené par Olivier Guez


    Entretien radiophonique : « Luuk van Middelaar : Europe, genèse d’un renouveau ? » présenté par Rémi Praud et Anne-Sophie Michel


  • Le Monastère des deux saints Jean

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     Un récit d’Alexis Curvers (1967)

     

     

    Dans le Sinaï, deux voyageurs en quête d’aventures découvrent un mystérieux couvent copte. Le frère Jean leur révèle que ce monastère est le champ où s’affrontent les deux saints Jean, l’Évangéliste et le Baptiste, et leurs adeptes. Une parabole où se mêlent mystique et sensualité.

     

     

    Alexis Curvers, Actes Sud, L'Agneau Mystique, Gand

     

     

    POINT DE VUE DE L’ÉDITEUR

     

    Né à Liège en 1906, Alexis Curvers connut le succès en 1957 avec Tempo di Roma (Laffont, Pavillons). Mais avant d’atteindre à cette notoriété, sanctionnée par le Prix Sainte-Beuve, il avait écrit plusieurs ouvrages, en même temps qu’il animait la littérature du pays liégeois. Le récit que voici, en forme de parabole, révèle donc un autre aspect du talent chez cet écrivain inspiré comme Marguerite Yourcenar par ses études classiques, hanté comme Julien Gracq par le désert et la solitude, fasciné comme Paul Gadenne par la rencontre de la mystique et de la sensualité. Car c’est bien à leur monde qu’il appartient.   (Hubert Nyssen)

     

     

    Écouter le début du récit lu par Hubert Nyssen : ICI

     

     

    UN EXTRAIT – L’Agneau Mystique

     

     

    alexis curvers,actes sud,l'agneau mystique,gandBien qu’il y eût foule à Saint-Bavon, nous passâmes la journée entière dans la chapelle de l’Agneau Mystique. Jean ne prétendit pas en sortir, même durant les offices, quand le polyptique était fermé. Il restait à méditer les volets extérieurs avec autant de ferveur que les éblouissants panneaux intérieurs qu’un sacristain redéployait dans l’intervalle des messes. Et pour cause : à l’extérieur étaient peints les deux saints Jean, côte à côte, non comme des êtres vivants, mais sous l’aspect de deux statues de grandeur naturelle. Jean nous dit que cette pétrification, imitée de la sculpture d’église, n’était qu’un artifice destiné à donner le change sur la véritable pensée du peintre : quoi de plus irréprochable que ces statues d’autel ? L’insolite était qu’elles fussent plantées là, sans raison visible, entre le donateur et la donatrice agenouillés comme en adoration devant elles.

    Jean ne nous dit plus mot de la matinée, attendant patiemment que s’écoulassent les flots successifs des paroissiens alternant avec les touristes. À la fermeture de l’église, nous allâmes déjeuner d’un waterzoei qu’il dégusta de bon appétit. À la réouverture, le sacristain crut avoir la berlue en le reconnaissant à nouveau au pied du retable, dans la chapelle à présent désertée. Au retour seulement, nous l’interrogeâmes.

    – Vous avez des yeux, nous dit-il, l’Occident a des yeux et il ne voit point. Mais vous êtes maintenant assez avertis pour déchiffrer ce polyptyque, d’ailleurs splendide, sans que mes explications vous soient encore utiles.

    alexis curvers,actes sud,l'agneau mystique,gandIl nous résuma cependant, mais d’assez mauvaise grâce, quelques observations qu’il avait cursivement notées. Nous dûmes ainsi convenir que les panneaux intérieurs du retable sont peints tout à la gloire et pour l’apothéose du seul Jean-Baptiste. Il y trône au ciel à côté de Dieu, tandis que sur la terre l’Évangéliste se laisse à peine deviner parmi les Apôtres et les Docteurs qui l’environnent en foule. Contrastant avec cet anonymat, une inscription très claire décore le trône céleste du Baptiste, lequel y est qualifié de « plus grand que l’homme, égal aux anges » et de « lampe du monde » ; la phrase est tirée d’un sermon de saint Pierre Chrysologue, évêque de la cour de Ravenne, catholique mais longtemps ami de l’hérétique Eutychès et lui-même arianisant, comme presque tout le monde l’était plus ou moins consciemment dans ce dernier siècle de l’Empire romain.

    Le Dieu qui règne au sommet du tableau est-il Dieu le Père ou Dieu le Fils ? La question na jamais été tranchée. D’après notre ami, ce ne serait ni l’un ni l’autre, parce que c’est l’un et l’autre : le Dieu unique sans distinction de Personnes. La personne du Fils n’est que figurée par l’Agneau élevé sur un autel à l’arrière-plan du paysage terrestre. Autour de l’autel, des anges ailés forment un cercle d’adorateurs. Mais au premier plan se dresse triomphalement une fontaine à l’eau jaillissante, et c’est vers elle que se tournent les visages, que se porte l’attention et que se dirigent les pas des innombrables personnages de toutes sortes dont les quatre coins du tableau sont peuplés : pas un d’entre eux n’a seulement un regard pour l’Agneau. Il résultait de là qu’il n’a pas fallu moins qu’un prodigieux trompe-l’œil pour suggérer le nom d’Adoration de l’Agneau, communément donné à cette composition qui s’appellerait plus justement l’Adoration de l’eau. Le centre géométrique en est d’ailleurs le sommet de la fontaine. Tout converge vers ce point où resplendit la statuette dorée d’un ange, en lieu et place de la croix qu’on y attendrait.

    réédition Espace Nord (2008)

    alexis curvers,actes sud,l'agneau mystique,gandBien plus, la croix du Christ ne se rencontre nulle part dans tout l’ensemble du polyptyque. Le peintre y a pourtant semé nombre de croix, mais toutes petites, grecques ou pattées, et ne servant que d’accessoires et d’ornements ; plusieurs sont en forme de tau, symbole imparfait, décapité de la branche supérieure par où descend la grâce du ciel. Même la croix figurant parmi les instruments de la Passion portés par les anges qui entourent l’Agneau, même cette croix du Calvaire est douteuse : on ne sait si l’écriteau qui la surmonte au ras de la transversale est ainsi placé pour cacher la branche supérieure de la verticale, ou pour en masquer l’absence. De telles ambiguïtés sont-elles sans intention ?

     

    Tempo di Roma et Le Monastère des deux saints Jean

     d'Alexis Curvers, présentés par Christian Libens

     

     

  • Dominique Rolin (1913-2012)

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    Un entretien

    avec Dominique Rolin (19/03/1982)

     

     

    Jacques De Decker rend visite à la romancière Dominique Rolin à qui l’on doit entre autres L’Enragé (1978), autobiographie apocryphe de Pieter Brueghel l’Ancien, et Dulle Griet (1977), livre dans lequel elle s’identifie à Margot la Folle, la femme cuirassée du célèbre tableau du peintre flamand. De la mort, de l’humour, de la Flandre, de Dostoïevski… au fil d’un retour sur L’Infini chez soi (1980) et Le Gâteau des morts (1982).

     

     

    Dominique Rolin fille de Breughel

     

     

    dominique rolin,jacques de decker,flandre,brueghelCloué sur son lit d’agonie par un rhumatisme articulaire qui l’empêchera à jamais de peindre, Brueghel se rappelle sa vie. Première enfance paysanne, atelier d’un maître célèbre, paysages et peintures des Flandres puis d’Italie, villes déchirées par la répression espagnole, huma- nité grouillante, femmes qu’il a aimées... vie transformée en œuvre.

     

     

     

    Dominique Rolin, entre fiction et réalité (entretien radio)

     

     chronique de Jacques De Decker sur Dominique Rolin

    podcast

     

     

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  • Poètes néerlandais de la modernité

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    Entretien avec Henri Deluy


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    A propos de son recueil L'Heure dite et l'anthologie Poètes néerlandais de la modernité

     

     

     

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    photo : Rozalie Hirs & Thomas Möhlmann

     

  • Deshima – hors série n° 2

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    Strindberg et la ville / The cities of Strindberg

     

    Actes du XVIIe colloque international August Strindberg, Université de Strasbourg, 3-5 juin 2010

     

    Textes réunis par Elena Balzamo & Sylvain Briens


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    Sommaire

     

    Entre la ville et la campagne

    Elena Balzamo : Les villes épistolaires de Strindberg

    Barbara Lide: “Undrar fortfarande varför jag som stadshatare skall bo i stad.” Strindberg in Berlin


    Ville visible et invisible

    Massimo Ciaravolo : Stockholm-Paris: Interaction as Structure in Sleepwalking Nights on Wide-awake Days 

    Anita Persson : Walking with August Strindberg. Reading the city

     

    Ville sensible

    Jan Balbierz : Men on the Edge of Nervous Breakdown. Some Remarks on Strindberg, Hamsun, Medicine and the City 

    Franco Perrelli : Ensam: the Narrator, the Town and an Adventure of Perception

     

    L’espace urbain sur la scène 

    Rikard Schönström : The Enveloping Home. Envisioning the House in Strindberg’s Chamber Plays 

    Jørgen Stender Clausen : Strindberg’s The Ghost Sonata. A Mumming Play

     

    Ville hétérotopique

    Mickaëlle Cedergren : Le monastère ou le refuge hors ville. Une tentative de remasculinisation 

    Eszter Szalczer : The City as Stage

    Maxime Abolgassemi : « Une ville vibre toujours » : circulation dans le Paris hétérotopique d’Inferno

     

    Ville du présent, ville du passé 

    Annie Bourguignon : Stockholm dans Götiska rummen et Svarta fanor

    Antoine Guémy : Gamla Stockholm : le fantôme de la ville. Strindberg, ethnologue 


    La ville fin-de-siècle 

    Henrik Johnsson : Strindberg and the Esoteric City

    Cecilia Carlander : Milieux opposés : Au bord de la vaste mer, Inferno et l’imaginaire décadent 

     

    La ville comme outil littéraire 

    David Gedin : Constructs of Meaning: Red Room, Inferno, Alone

     

     

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