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  • Francis Jammes à la hollandaise (2)

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    Je m'embête ou je m'ennuie à mourir...

     

     

    Jammes-TweedeRonde-1981.png

     

    Une fois encore, Francis Jammes... dans une traduction néerlandaise, celle-ci publiée sous le titre (traduit mot à mot) : « Je m’ennuie à mourir ». Elle remonte à l’été 1981 et a paru dans la revue De Tweede Ronde éditée à Amsterdam par la maison renommée Bert Bakker, et placée sous la houlette du slaviste et traducteur Marko Fondse (1932-1999) et de Peter Verstegen, autre traducteur réputé. La couverture de ce numéro de la deuxième année d’existence de ce célèbre périodique littéraire représente Paul Verlaine, Marcel Proust et Louis-Ferdinand Céline, dessinés par Bob Tenge (1934-2018). Des figures qui annoncent une guirlande d’écrivains français transposés dans la langue locale, essentiellement à travers des poèmes. Guillaume Apollinaire, suivi de la « Vénus callipyge » de Georges Brassens ; plus loin, Jean Richepin puis un passage en traduction de D’un château l’autre (par Frans van Woerden), Proust, Voltaire, Larbaud, Mallarmé, Benjamin Péret, Queneau, Albert Samain, Verlaine et un Baudelaire accompagné de nombre de dessins.

    Du Jammes tiré donc cette fois de De l’Angélus de l’aube à l’Angélus du soir par Wiebe Hogendoorn, historien du théâtre né à La Haye en 1936. Cet auteur est aussi connu pour avoir publié nombre de traductions dont Les Tristes d’Ovide. Pour la revue De Tweede Ronde, il a par exemple transposé du français la callipyge de Georges Brassens, deux poèmes d’Albertine Sarrazin, quatre de Jean Pérol et deux du Belge William Cliff.

     

    Jammes-Angelus.jpg

     

     

    IK VERVEEL ME DOOD

     

     

    Ik verveel me dood; pluk meisjes voor mij,

    voeg er blauwe lissen uit het berkenlaantje bij,

    waar blauwe vlinders dansen in de zonnegloed.

         Want ik verveel me dood.

    Ik wil ongedierte zien knagen, rood

    op kolen, appels (ook wel appelen), bitterzoet -

         ik verveel me dood.

     

    Die versjes die ik schrijf vervelen me ook dood

    en de blik van mijn hond is totaal idioot

         als hij luistert naar de pendule

    die hem verveelt zoals ik mij verveel.

    Die jachthond met drie oogharen, dat rotsecreet

         van een rotpoëet,

             is echt een ridicule.

     

    Kon ik maar schilderen. Ik schilderde beslist

    een blauwe weide die vol kampernoelies was,

    waar naakte deernen dansten in het gras

    om een oude wanhopige botanist,

    zo'n strohoedmeneer met een trommel (groen)

    en een gróót groen net om vlinders in te

         doen.

     

    Want ik ben dol op jonge deernen

    en op grotesk gekleurde prenten

    waarop men een botanist ziet drentelen,

    oud en afgemat,

    een bergbeek langs, op pad

         naar de taveerne.

     

    Jammes-Ronde.png

    Quatrième de couverture du numéro de De Tweede Ronde

     

     

    JE M’EMBÊTE…

     

     

    Je m’embête ; cueillez-moi des jeunes filles

    et des iris bleus à l'ombre des charmilles

    où les papillons bleus dansent à midi,

         parce que je m’embête

    et que je veux voir de petites bêtes

    rouges sur les choux, les ails (on dit aulx), les lys.

         Je m’embête.

     

    Ces vers que je fais m’embêtent aussi,

    et mon chien se met à loucher, assis,

         en écoutant la pendule

    qui l’embête comme je m’embête.

    Vraiment ces trois cils de ce chien de chasse,

         de ce chien de poète,

             sont cocasses.

     

    Je voudrais savoir peindre. Je peindrais

    une prairie bleue, avec des mousserons,

    où des jeunes filles nues danseraient en rond

    autour d’un vieux botaniste désespéré,

    porteur d’un panama et d’une boîte verte

    et d’un énorme filet à papillons

         vert.

     

    Car j’apprécie les jeunes filles

    et les gravures excessivement coloriées

    où l’on voit un vieux botaniste éreinté

    qui longe un torrent et se dirige

         vers l’auberge.

     

     


    le poème lu par Yvon Jean

     

     

  • Francis Jammes à la hollandaise (1)

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    « Prière pour aller au paradis avec les ânes »

    et la revue Ad Interim

     

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    Voici quelques années, nous avons donné une ébauche de la réception de Francis Jammes dans les terres néerlandophones ainsi que la traduction d’une série d’articles consacrée au poète par un chroniqueur d’expression néerlandaise. Pour ajouter une petite page à ce petit tableau - après la traduction, signée par un certain Berten Fonteyne, de « La Vie », poème qui clôt le recueil Ma fille Bernadette -, voici celle de l’un des poèmes emblématiques du Béarnais : « Prière pour aller au paradis avec les ânes ».

    Elle a paru dans Ad interim, n° 1, 1946, périodique publié à Utrecht par les éditions A.W. Bruna & Zoon, qui accordait une belle place à la poésie. Aidé par les circonstances, Ad Interim, revue puis mensuel, compte sans doute dans l’histoire des lettres des Plats Pays parmi les rares organes littéraires à avoir réuni un éventail incomparable d’écrivains de tous horizons politiques et confessionnels.

    Au numéro en question ont collaboré quelques-unes des plus grandes plumes des Pays-Bas de l’après-guerre : Adriaan Morriën, Gerrit Achterberg, Godfried Bomans, Pierre Kemp, Hendrik de Vries, Simon Vestdijk… D’autres noms tout aussi parlant pour le lecteur néerlandophone ont été liés à cette publication* qui a vu le jour clandestinement en avril 1944 (la Hollande n’a été libérée qu’en mai 1945) avant d’être absorbée, six ans plus tard, par le plus ancien périodique du pays, à savoir De Gids. Le plus grand poète de l’époque, l’assassin Gerrit Achterberg, a donné des dizaines de poèmes à cette revue.


    francis jammes,ad intérim,traduction,poésie,hollandeCôté lettres d’expression française – en quelque sorte un avant-dernier soubresaut de la culture française en Hollande –, on relève, en traduction et essentiellement dans le numéro double 8/9 paru en 1949, du Mallarmé (« L’Après-midi d’un faune »), du Nerval, du Musset, du Baudelaire, du Tristan Corbière, du Verlaine, du Rimbaud, du Moréas, de l’Albert Samain, des rondeaux de Charles d’Orléans, la « Ballade du pendu » de Villon, du Vigny (« La Mort du loup »),  du Hugo (entre autres « Booz endormi »), du Paul Valéry, de l’Anna de Noailles, du Guillaume Apollinaire, du Jules Supervielle, du Paul Éluard, du Tristan Tzara, du Louis Aragon, du Henri Michaux, du Édouard Jaguer (poète « surréaliste » qui sera lié peu après au mouvement CoBrA), mais aussi le poème « Jean Giono » de Gerrit Achterberg, un article sur Pierre Emmanuel – signé par le francophile Martin J. Premsela qui propose une traduction du poème « Les Dents Serrées ». Du même chroniqueur, on relève une page sur Histoire d’un été de Michel Davet, une autre sur Lysiane Bernhardt (pour son livre Sarah Bernhardt, ma grand’mère), une autre encore sur Le Jardin délivré, premier recueil de Lucienne Desnoues, des articles sur l’auteur et politicien Jean-Richard Bloch, sur Ernest Florian Parmentier. On recense aussi un essai sur Lautréamont (de Koos Schuur), un autre sur Les Heures claires de Verhaeren, diverses chroniques cinématographiques (par exemple sur La Belle et la Bête de Cocteau) ou sur la peinture (Pierre Bonnard au Stedelijk Museum, Chagall…), de la prose et des poèmes d’Henk Breuker, l’ami de Joseph Delteil, Christian Dedet et Frédéric Jacques Temple (entre autres une traduction du texte « Blaise Cendras » de Temple, un texte sur La Putain respectueuse de Sartre ; un autre sur Mon village a l’heure Allemande de Jean-Louis Bory). Par ailleurs, Ad Interim présente une poignée de poèmes dans un drôle de français de Riet Prager, une Néerlandaise qui, nous dit-on, aurait longtemps vécu en France : « Les neiges et les demi-volontés », « Atone qui me hante » et « Célébration précipitée ».

    On doit la traduction du poème de Francis Jammes, qui provient du recueil Le Deuil des Primevères (1898-1900), à Hein de Bruijn (1899-1947), représentant peut-être le plus talentueux de la mouvance liée à Opwaartsche Wegen, revue protestante en vue durant l’entre-deux-guerres, dont il fut l’un des rédacteurs. Né dans une bourgade frisonne, il s’est semble-t-il fait tout seul, échappant par ses efforts à sa modeste condition. Il est l’auteur de recueils de poésie, d’un drame lyrique, d’une réécriture du livre de Job, de traductions de John Donne et de Shelley, ainsi que de proses (quelques nouvelles et deux romans dont l’un resté inachevé). Écartelé entre le milieu auquel il s’était arraché, un travail abrutissant et un milieu artistique où il éprouvait des difficultés à trouver sa place, il décida de rejoindre, après plusieurs dépressions, le paradis des ânes.

     


    Georges Brassens parle de Francis Jammes 

     

     

     

    GEBED, MET DE EZELS, OM HET HEMELRIJK TE MOGEN BINNENGAAN

     

    Wanneer Gij eenmaal, God, mij roept tot U te gaan,

    zo moog’ het zomerland rondom te glanzen staan.

    Ik wil, gelijk ik zulks gewoon was op de aarde,

    m’een pad verkiezen om in vrede naar de

    hemel toe te wandelen, waar daags de sterren schijnen.

    Ik neem mijn stok, om barvoets langs de heirbaan te verdwijnen,

    en tot de ezels, vrienden van mij, is het dat ik zeg:

    zie, hier komt Francis Jammes, naar ’t Paradijs op weg,

    naar ’t lieflijk land van God, daar is geen hellevuur,

    komt mee, zachtaard’ge vrienden, minnaars van ’t klaar azuur,

    mijn arme, lieve dieren, die, als uw oren flappen,

    de vliegen opjaagt, de bijen van u drijft en weert de klappen.

    Dan wil ik mij temidden dezer dieren voor U buigen,

    het hoofd genegen, nederig als deze mij betuigen,

    die, hun kleine hoeven naast elkander, altijd blijven staan

    met zoveel verootmoediging, dat ’k mij voel aangedaan.

    Zo stel ’k mij voor Uw aangezicht, waar duizend oren wenden,

    met zulken, wien de korvenvracht gesnoerd werd om de lenden,

    of eenmaal in een dartlend wagenspan gevangen,

    of opgetuigd voor koetsjes, met verguldsel en gepluimde spangen,

    en zulken, met gebutste kannen dravend, voortgedreven,

    en opgeblazen dracht’ge ezelinnen, die telkens struikelend ’t bijna begeven,

    met, hier en daar verspreid, een enkeling op sokken,

    hem ter bescherming tegen bloedbeluste vliegen aangetrokken,

    waar anders zo’n blauw, etterend open builtje overblijft.

    Laat mij, mijn God, met deze ezels U gemoeten,

    en moge ’t zijn geleid door dichte engelstoeten

    tot bij de beek in ’t lover, waar wind en kersen kozen, 

    in een luister als wanneer de jonge meisjes blozen,

    en geef, dat ik in ’t scheemrend rijk der zielen

    gelijk de ezels aan Uw wateren mag knielen,

    wier ootmoed, waar op aarde hun tred in wiegelt,

    zich dan in ’t klare wellen van de eeuwige Liefde spiegelt.

     

     


    Le poème lu par Gilles-Claude Thériault

     

     

     

    PRIERE POUR ALLER AU PARADIS AVEC LES ÂNES

     

    Lorsqu’il faudra aller vers vous, ô mon Dieu, faites

    que ce soit par un jour où la campagne en fête

    poudroiera. Je désire, ainsi que je fis ici-bas,

    choisir un chemin pour aller, comme il me plaira,

    au Paradis, où sont en plein jour les étoiles.

    Je prendrai mon bâton et sur la grande route

    j’irai, et je dirai aux ânes, mes amis :

    Je suis Francis Jammes et je vais au Paradis,

    car il n’y a pas d’enfer au pays du Bon Dieu.

    Je leur dirai : « Venez, doux amis du ciel bleu,

    pauvres bêtes chéries qui, d’un brusque mouvement d’oreille,

    chassez les mouches plates, les coups et les abeilles. »

    Que je Vous apparaisse au milieu de ces bêtes

    que j’aime tant parce qu’elles baissent la tête

    doucement, et s’arrêtent en joignant leurs petits pieds

    d’une façon bien douce et qui vous fait pitié.

    J’arriverai suivi de leurs milliers d’oreilles,

    suivi de ceux qui portent au flanc des corbeilles,

    de ceux traînant des voitures de saltimbanques

    ou des voitures de plumeaux et de fer-blanc,

    de ceux qui ont au dos des bidons bossués,

    des ânesses pleines comme des outres, aux pas cassés,

    de ceux à qui l’on met de petits pantalons

    à cause des plaies bleues et suintantes que font

    les mouches entêtées qui s’y groupent en ronds.

    Mon Dieu, faites qu’avec ces ânes je Vous vienne.

    Faites que, dans la paix, des anges nous conduisent

    vers des ruisseaux touffus où tremblent des cerises

    lisses comme la chair qui rit des jeunes filles,

    et faites que, penché dans ce séjour des âmes,

    sur vos divines eaux, je sois pareil aux ânes

    qui mireront leur humble et douce pauvreté

    à la limpidité de l’amour éternel.

     

     Francis Jammes

     

     

     Gerrit Achterberg a 19 ans

    francis jammes,ad intérim,traduction,poésie,hollande* Citons les les autres auteurs les plus connus qui ont donné au moins un texte à Ad Interim : Jan Arends, Anna Blaman, J.C. Bloem, Louis de Bourbon, Gerard den Brabander, C. Buddingh’, Frans Coenen, C.C.S. Crone, Cola Debrot, Lodewijk van Deyssel, Mary Dorna, Anton van Duinkerken, Jan G. Elburg, Jan Engelman, le compositeur Rudolf Escher, Robert Franquinet, Jac. van Hattum, Albert Helman, W.F. Hermans, Ed. Hoonik, Alfred Kossmann, Gerrit Kouwenaar, Jef Last, L.Th. Lehmann, Clare Lennart, Vincent Mahieu, A. Marja, Hanny Michaelis, Emiel van Moerkerken, P.H. van Moerkerken, Maurits Mok, Max Nord, Michel van der Plas, A. Roland Holst, Henriëtte Roland Holst, Jeanne van Schaik-Willing, Garmt Stuiveling, Charles B. Timmer, M. Vasalis, Bernard Verhoeven, Simon Vinkenoog, Bert Voeten, Hendrik de Vries, Theun de Vries, Victor E. van Vriesland, Hans Warren, Constant van Wessem… Une palette extrêmement hétérogène (à laquelle il faut ajouter les défunts Multatuli et Willem Paap) réunie par une rédaction de coloration plutôt catholique : Bertus Aafjes, Gerrit Kamphuis, C.J. Kelk, Jaap Romijn et Gabriël Smit ; il s’agissait pour eux d’éditer, uniquement sur une base esthétique, des écrivains privés de support, pour ne pas dire interdits de publications en ces années de conflit. La guerre finie, Ad Interim entendit poursuivre sur sa voie non sectaire et en s’ouvrant à des écrivains flamands et sud-africains. Ainsi voit-on apparaître les noms de Hubert van Herreweghen, Johan Daisne ou encore Karel Jonckheere.

     

     

  • Francis Jammes à la flamande

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    Voici quelques années, nous avons donné une ébauche de la réception de Francis Jammes dans les terres néerlandophones ainsi que la traduction d’une série d’articles consacrée au poète par un chroniqueur d’expression néerlandaise (voir Cahiers Francis Jammes, n° 2-3). Pour ajouter une page à ce petit tableau, voici la traduction libre, signée par un certain Berten Fonteyne, de « La Vie », poème qui clôt le recueil Ma fille Bernadette (poème d’octobre 1909, publié initialement dans la NRF, 1910, n° 12, p. 440-442). Cette traduction a été publiée dans Pogen. Maandschrift der jonge gedachte in Vlaanderen (Tenter. Mensuel de la jeune pensée flamande), novembre 1923, n° 8, p. 248. Les pages suivantes de ce numéro sont consacrées aux Lettres à sa fiancée de Léon Bloy, sous la plume du journaliste Jan Boon. Éditée à Gand, cette revue confidentielle réunissant des auteurs flamands et néerlandais d’obédience catholique – dont des religieux – a cessé d’exister après le deuxième numéro de 1925 ; neuf avaient paru la première année – en 1923 – et douze en 1924. Nous ne disposons d’aucune information sur le traducteur. (D .C)

     


     

    « Une Vie, une Œuvre » par Paule Chavasse, 13 novembre 2008, France Culture 

     

     

    VAN HET HUIZEKE

     

    Het leven is net ’n heel klein huizeke

    dat staat langs den weg, mijn Bernadetje!

    ’n heel simpel huizeke met grove muren,

    vervuld van eerlijkheid,

    en in welks hof we druivekes plukken

    en hazelnootjes.

    Daarna gaan we heen.

     

    Bekijk ’ns goed dat kleine huizeke

    met zijn miniatuur-pui;

    het is er zoals wij er zijn

    en erover heen schuift haastig het getij.

     

    Wat blijft er wel zo al van dat alles

    als de laatste stonde heeft ingeluid,

    die stonde waarin gelijk een waterstriem

    een geknielde schaduw weent?

    God.

     

    Enkel God blijft dan nog

    God! ’t is te zeggen:

    het grote huis waaruit we nooit zullen heengaan.

    Het huis waar, op de pui,

    de biddende engel, de ogen sluit.

     

    Maar, Bernadetje, terwijl jij in dat leven bent,

    leer het goed hoe dat leven is. -

    Ken het lijk je een les kent die je aandachtig

    tot het einde hebt gevolgd,

    en die je geboeid heeft tot het laatste woord.

     

    En als dan je zacht, gewelfd voorhoofdje

    op zal staren van dat grote boek

    waarin je spelde van het brood dat uit het koren groeit

    en van de wijn die uit de druiven druipt,

     

    dan zul je best begrijpen

    hoe innig lief dat huizeke is;

    dat huizeke langs den weg waarin niets bizonders is

    maar waar er vier hartjes wonen

    je vader, je moeder, je meetje

    en jij.

     

    En kijk ’ns! in onzen ochtend

    welven de hemelen over onze daking

    heel gulden als maagdehonig

     

     


     Georges Brassens chante « La Prière » de Francis Jammes, 1965

     

     

    LA VIE

      

    La vie est comme une petite maison bâtie sur le bord d’un sentier, ô ma Bernadette !

    une maison toute simple aux gros murs honnêtes

    dans le jardin de laquelle on cueille du chasselas et des noisettes.

    Puis l’on s’en va.

     

    Vois la petite maison

    avec son perron.

    Elle est là comme nous sommes là, et la saison avance à grands pas.

     

    Qu’est-ce qui demeure

    de tout cela quand a sonné la dernière heure, celle où comme un filet d’eau une ombre à genoux pleure ?

    Dieu.

     

    Il reste Dieu, c’est à dire la maison

    d’où jamais nous ne sortirons,

    la maison où l’ange en prière sur le perron ferme les yeux.

     

    Mais apprends bien, ô Bernadette, pendant que tu es dans la vie,

    comment elle est, cette vie : sache-la comme une leçon qu’on a suivie

    du bout du doigt et qui t’aura ravie

    jusqu’à la fin.

     

    Et quand ton front si doux et bosselé

    se relèvera du grand livre où tu auras épelé

    le pain qui naît du blé

    et le vin du raisin,

     

    tu comprendras combien la petite maison est chère,

    la maison sur le sentier dans laquelle il n’y a rien d’extraordinaire,

    mais où vivent quatre cœurs : ton père, ta mère, ta grand’mère et toi.

     

    Et voici que le ciel

    doré comme le miel

    après notre réveil

    s’élève sur le toit.

     

    Francis Jammes

     

     

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  • Youri Egorov, par Jan Brokken

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    Youri Egorov : le tragique destin d’un virtuose en exil

     

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    Youri Egorov est un pianiste russe né en 1954 à Kazan en Union soviétique. Alors qu’il est en tournée en Italie, il demande l’asile politique en 1976, grâce à un contact dont il dispose en Hollande. Il s’installe à Amsterdam. Virtuose angoissé, il meurt en 1988 du sida, à seulement trente-trois ans.

     

    L’écrivain néerlandais Jan Brokken, qui le rencontra longuement de son vivant et hérita de ses cahiers, lui a consacré un ouvrage qui relate la vie du musicien ainsi que l’histoire de leur amitié : In het huis van de dichter (Dans la maison du poète, éditions Atlas/Contact, 2008), encore inédit en français. De Jan Brokken, on peut lire : Les Âmes baltesPériple à travers l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie (Denoël, 2013) et le Le Jardin des Cosaques (Librairie Vuibert, 2018), tous deux traduits par Mireille Cohendy. L’auteur a par ailleurs consacré un livre à la musique de onze Antillais adorateurs de Chopin dont on peut découvrir la version anglaise sous le titre The music of the Netherlands Antilles (2015).

    Nous reproduisons l’intégralité du chapitre 3, traduit du néerlandais par Daniel Cunin, avec l’aimable autorisation de l’auteur : Youri Egorov se rend en 1977 au concours international de piano Van Cliburn, à Fort Worth, aux États-Unis.


     

     

    Chapitre 3

     

    Il commençait tout juste à se sentir un peu chez lui à Amsterdam – achat d’un vélo, noire bicyclette à haut guidon, premier joint fumé en pleine rue, à la vue de tous – quand son agent néerlandais lui recommanda fortement de participer à la Van Cliburn International Piano Competition de Fort Worth. Façon la plus rapide de se faire un nom aux États-Unis. Remporter ce concours, c’était l’assurance de se produire au Carnegie Hall, temple new-yorkais de la musique, et « who can make it there, can make it anywhere », avait vrombi l’imprésario.

    Les concours, Youri les subissait comme une torture volontaire. Aux Tchaïkovski, Élisabeth et Marguerite Long/Jacques Thibaud, il était parvenu sans peine en finale, mais ses nerfs l’avaient alors empêché de donner tout à fait le meilleur de lui-même. Ces semi-échecs tenaient en outre à sa manière de jouer : maudissant les interprétations au brillant de miroir, qui en réalité ne reflètent guère autre chose que du vide, il prenait des risques, soulignait les contours anguleux de ce qu’il interprétait et produisait parfois une fausse note.

    Youri Egorov, piano, , roman, pays-bas, traductionDe fait, il faut être d’acier et non de chair et de sang pour prendre part à une telle compétition. À moins que l’on ne joue sa vie, comme son professeur Jakov Zak. Ce dernier, Juif, avait participé au concours Chopin de Varsovie en 1937. Il avait de fortes chances de voir sa jeune vie prendre fin en Sibérie s’il ne remportait pas le premier prix et ne recueillait pas les félicitations de la Pravda en première page. Dans ces années, la campagne antisémite déclenchée par Staline avait pris une ampleur sans précédent, n’épargnant que ceux qui se distinguaient particulièrement dans les sciences ou dans les arts. Nuit après nuit, les voitures noires du NKVD sillonnaient Moscou pour procéder à des arrestations. Aucune rue, aucun pâté de maisons n’était à l’abri. Avant de se coucher, femmes et hommes juifs préparaient des sous-vêtements de flanelle et quelques vivres au cas où leur tour viendrait la nuit même. En interprétant, en transe, l’Étude chromatique, Zak avait échappé à ses propres obsèques.

    Pour Youri, rien de tel n’était en jeu. Si ce n’est, certes, son avenir, mais il s’agissait là d’une perspective un rien trop vague pour qu’il sente l’haleine glaciale de la guillotine sur sa nuque. Il avait terminé troisième du concours Tchaïkovski, troisième aussi du concours Élisabeth, quatrième du concours Marguerite Long/Jacques Thibaud.

    « Et au Van Cliburn, tu vas être premier », prédisait son imprésario.

    Lui n’en était pas si certain. Trois pianistes soviétiques siégeaient dans le jury. Si États-Unis et Union soviétique se livraient à une lutte féroce dans tous les domaines possibles et imaginables, en matière de musique les deux grandes puissances se renvoyaient l’ascenseur, excluant les petits pays de la course au pouvoir. Quand Bartók était arrivé à New York, personne n’avait voulu lui tendre la main : il venait de Hongrie. Il s’était éteint en 1945 dans un hôpital pour les pauvres. Deux ans plus tard, cette même ville réservait un triomphe à Chostakovitch. Devant lui, le plus célèbre des compositeurs soviétiques, le virtuose de l’ennemi, les Américains étaient prêts à faire une profonde révérence.


     

    À Fort Worth, au cœur du Texas, il n’en irait pas autrement : le premier prix reviendrait à un pianiste soviétique ; si tel n’était pas le cas, c’est un Américain qui décrocherait les lauriers. Un petit jeu auquel son impresario ne comprenait pas grand-chose : en vrai Hollandais, il croyait en un déroulement équitable de l’événement. Le bonhomme était tout aussi aveugle au cirque et battage qui accompagnent la musique aux États-Unis. Là encore, une différence de culture et de mentalité : quand on vient d’un petit pays, on est vite impressionné par le grandiose et le pouvoir. Les documents communiqués par les organisateurs mentionnaient en premier lieu les cocktails financés par les sponsors, les pièces devant être interprétées ne figuraient qu’en annexe.

    Youri alla jusqu’à envisager d’annuler son voyage au Texas, en partie à cause de la façon dont son imprésario essayait de diriger ses pensées. Même s’il ne se produisait plus très souvent, Van Cliburn était toujours considéré comme le plus grand pianiste que l’Amérique avait donné, c’est lui qui allait présider le jury et, l’imprésario de poursuivre : « Ce type est une tantouse de première, il va craquer pour toi. »

    Voulait-on voir Youri se mettre en rage qu’on n’aurait pu mieux s’y prendre. Une remarque grossière et balourde, à son sens. Si Van Cliburn devait craquer, alors pour son jeu et pas pour autre chose ! Le soir où, dans la barre d’immeubles de son oncle Arik, on l’avait appelé pour répondre au téléphone, il avait fait vœu de mener une vie honorable. Honorable quant au comportement, aux pensées et au cœur. En aucune circonstance, il ne s’abaisserait à un opportunisme vulgaire, moins encore à de la coquetterie.

    Youri Egorov, piano, , roman, pays-bas, traductionUne raison bien différente expliquait en réalité son impatience de rencontrer Van Cliburn. Pour beaucoup de jeunes Russes, l’Américain avait été une idole. En 1958, à Moscou, il avait remporté le premier concours Tchaïkovski en interprétant le Concerto pour piano n°3 de Rachmaninov et le n°1de Tchaïkovski. Le président du jury avait téléphoné à Khrouchtchev pour lui demander si les honneurs pouvaient revenir, oui ou non, à l’Américain ; un an après le lancement du premier Spoutnik, le chef du Parti avait estimé l’avance de l’Union soviétique suffisante pour retourner la question à son interlocuteur : l’Américain est-il, oui ou non, le meilleur ? Ben oui. « Alors, donnez-lui son prix. » Une tournée triomphale avait suivi en Union soviétique ; dans toutes les villes, une pluie de fleurs ensevelit le pianiste du Texas en raison de son jeu libre, grandiose, romantique et plus encore parce qu’il était le premier musicien de l’Ouest à se produire derrière le Rideau de fer, donnant au public l’espoir d’une ouverture politique. Harvey Lavan (« Van ») Cliburn était devenu le symbole du rêve de liberté, bien vague encore à l’époque. Dans les années soixante, alors que les tensions entre l’Est et l’Ouest redoublaient une nouvelle fois, Van Cliburn avait malgré tout continué à se produire dans le pays ; ses concerts déclenchaient des émotions tellement fortes que, bien souvent, il ne pouvait quitter la scène avant minuit. À Moscou, des foules en délire acclamaient l’Américain ; à la sortie des salles de concert, on le portait littéralement aux nues et on le couvrait de cadeaux. Des fans découpaient dans les journaux et les magazines des photos le représentant pour les coller aux murs de leur chambre. Il incarnait la liberté, le monde moderne, l’Amérique, y compris, par son apparence juvénile, celle de James Dean, d’Elvis Presley. C’est la main de ce Van Cliburn qu’il serrerait à Fort Worth.

    Ce qui l’incitait par ailleurs à participer au concours, c’était le programme imposé. Dans le répertoire prescrit, il pouvait choisir entre la Fantaisie chromatique et fugue en ré mineur BWV 903 de Bach, la Fantaisie en ut mineur K 475 de Mozart et la Fantaisie en ut majeur de Schumann, pièces qu’il avait étudiées à Moscou, pour lesquelles il éprouvait une véritable affinité et qu’il lui arrivait de jouer au milieu de la nuit quand un délire parano l’empêchait de dormir et qu’il cherchait un peu de sérénité au clavier. Autant d’œuvres qu’il comprenait ; or, pour jouer, il avait besoin de trouver une logique parfaite à chaque note. Comme il n’interprétait que des œuvres qu’il possédait à fond, son répertoire n’était guère étendu : il considérait le programme imposé comme un coup de chance.

    Il décida de s’y rendre.


     

    Le voyage tourna à la catastrophe. Il s’envola pour Londres-Heathrow, mais son avion à destination du Texas partait de Londres-Gatwick (gaffe de l’imprésario) ; dans un premier temps, on ne l’autorisa pas à quitter l’aéroport car il n’avait pas de visa pour l’Angleterre ; il pria et supplia la police des frontières de lui fournir un laissez-passer, finit par l’obtenir et, le bout de papier requis en poche, prit un taxi jusqu’à Gatwick où il arriva alors que son avion venait de décoller. Il lui fallut attendre le suivant quatre heures durant, et quand il atterrit à Fort Worth, sa valise avait disparu.

    C’est vêtu d’un smoking qu’on lui avait prêté qu’il se rendit au cocktail au cours duquel il serra la main de Van Cliburn, d’un T-shirt acheté à la hâte qu’il donna trois interviews à des journalistes de la télévision, lesquels ne s’intéressèrent qu’à la raison l’ayant amené à fuir l’Union soviétique. Le T-shirt le serrait, il se sentait mal à l’aise ; peut-être est-ce pour cela qu’il fournit une réponse maladroite à la question de la journaliste d’ABC : « Que pensez-vous de l’invasion russe de l’Afghanistan ? » « Bad, ce simple mot, ça aurait passé, mais il crut bon d’ajouter : isn’t it ? ». Lui qui exécrait les journalistes se demandait si la liberté n’était pas tout bonnement un jeu du chat et de la souris auquel on était, qu’on le veuille ou non, censé participer : abonder dans leur sens, qu’aurait-il pu faire d’autre ? Un autre journaliste lui posant la même question – « Votre avis sur l’invasion de l’Afghanistan » –, il en profita pour faire un mot d’esprit : « L’invasion, elle s’est passée en tierce majeure ou mineure ? »

    Il ne logeait pas à l’hôtel, mais chez une famille, l’un des sponsors du concours, les Smith. Autre raison pour laquelle il avait hésité à participer au Van Cliburn : il commençait à se trouver trop vieux pour être accueilli comme un gamin au sein d’une famille. Non content d’être riche à millions (il possédait 10 % des actions de Texas Oil), Smith se comportait en conséquence. La température extérieure s’élevant à 40°C, ce monsieur faisait ronfler la clim jusqu’à ce que la température intérieure baissât sous les 15°C de sorte à faire du feu dans la cheminée. Parce que : « Vous êtes russe, non ? Alors vous apprécierez le crépitement des bûches. » Dans le jardin s’étendait une piscine aux dimensions olympiques, scindée sur sa longueur par une paroi de verre ; d’un côté, on pouvait piquer une tête, de l’autre évoluaient des requins censés créer l’illusion d’une mer tropicale. « Est-ce cela, demanda en toute innocence Youri à Mme Smith, ce qu’ils appellent la décadence ? »

    Il franchit les premiers tours. Il se préparait à prendre part à la demi-finale, cette fois vêtu de son smoking, sa valise ayant fini par arriver. La longueur des manches, qui lui était familière, suffisait à le mettre plutôt à l’aise. C’est alors qu’un événement se produisit dont il sut sur-le-champ qu’il le poursuivrait le reste de sa vie.

    En demi-finale, il passait en quatrième position. Une courte pause suivit la prestation des trois premiers. Youri patientait dans les coulisses. Là s’étaient également rassemblés les membres du jury, parmi eux le pianiste soviétique Andrei Petrov, un renard patenté affublé d’un costume gris élimé. Le gong retentit. Juste avant que Youri ne se produise, Petrov lui siffla : « Vous savez que Jakov Zak est décédé ? Insuffisance cardiaque. De votre faute, votre faute. »

    L’insinuation selon laquelle sa fuite à l’Ouest avait causé la mort de son professeur Jakov Zak, le frappa comme un coup de massue. Dans un brouillard dense, il gagna la scène.

    Jan Brokken, par Vera de Kok

    Youri Egorov, piano, , roman, pays-bas, traductionIl ne joua ni pour l’audience, ni pour le jury, il joua avec son âme, de toute son âme, comme s’il entendait la voix de son professeur, Jakov Zak, assis à côté de lui :« Vas-y, donne tout, qu’ils aillent au diable ! tous autant qu’ils sont ! Fais de la musique. » Car tel avait toujours été son conseil : Yourotchka, une faute de plus ou de moins, on s’en fout ! Avant tout, la musique !

    Le jury l’écarta de la finale, à l’unanimité. Y compris le président qui n’osa pas louer un dissident russe. Van Cliburn avait fini par croire en sa mission ; il se considérait toujours comme la passerelle jetée entre l’Ouest et l’Est. Rien ne devait mettre en danger la position qu’il occupait ; il entendait mourir en apôtre de la paix, ne loupait aucune réception que donnait l’ambassade soviétique. À ses yeux, les fins politiques prévalaient sur toute motivation musicale ; le diplomate en lui ayant pris le dessus sur l’artiste, il était en fait devenu un pion dans les rapports complexes entre bloc soviétique et Occident.

    Le public fut piqué au vif. Le couple Smith rassembla sur place de l’argent pour Youri, dix mille dollars en tout, le montant exact qui revenait au gagnant du premier prix. En outre, l’imprésario new-yorkais Maxim Gershunoff lui offrit de donner une série de concerts aux États-Unis, à commencer par un récital à l’Alice Tully Hall du Lincoln Center de New York, puis, quatre mois plus tard, à Chicago, et, cerise sur le gâteau, un récital à la fin de l’année au Carnegie hall.

    Cela le laissa totalement indifférent. Pendant des jours, un thrène gronda dans sa tête. « Zak… Zak… Zak… c’est moi qui l’ai assassiné. »

    Il s’envola pour New York, il joua à l’Alice Tully Hall. Ovations debout, un bravo massif. Chaque critique renchérit sur les cris d’enthousiasme de ses confrères. « The greatest piano recital Ive ever heard » (Bill Zakariasen, The Daily News). « The whole performance was remarkable » (John Rockwell, The New York Times). « One of the most thrilling piano recitals I can remember » (Speight Jenkins, The New York Post). « The biggest and most poetical young pianistic talent I have ever encountered » (Andrew Porter, The New Yorker).

    Des deux mains, il entassa les coupures de presse et maintint dessous la flamme de son briquet.

    Zak. Il avait assassiné Zak.

    Un énième cocktail, une foule de bobos, du caviar à la louche, des flots de champagne pour fêter l’artiste. Bras sur ses épaules, Gershunoff ne le lâchait plus : « Quel triomphe ! quel triomphe pour toi !... considère-toi comme mon fils, comme la prunelle de mes yeux, le nouveau Horowitz, prépare-toi à jouer dans every goddamned city of the United States. » Un tas de nouvelles invitations, dont l’une de la main même de Vladimir Horowitz. Mais il les déclina toutes, y compris celle de Horowitz.

    Il n’avait qu’une envie : retrouver son appartement du Brouwersgracht. Il souhaitait rentrer le plus tôt possible à Amsterdam.

    Jan BROKKEN

     

    Jan Brokken, In het huis van de dichter

    Amsterdam/Anvers, Atlas/Contact, p. 32-39.

     

     

    Chapitre traduit du néerlandais par Daniel Cunin en collaboration avec le groupe ayant participé au séminaire de traduction début avril 2016, en présence de l’auteur, Études néerlandaises, Sorbonne Université, à l’invitation du professeur Kees Snoek et de la Taalunie. Ce texte a paru à l'origine sur le site profession-spectacle.com.

     


     

     

  • BIBLIOGRAPHIE - DANIEL CUNIN

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    La présente bibliographie est à peu près exhaustive. La quasi-totalité des titres mentionnés - hormis ceux des deux dernières rubriques -  sont des traductions d’ouvrages et de textes néerlandais.

     

     

    ROMANS - JOURNAUX INTIMES

     

    WILLEM FREDERIK HERMANS, La Maison préservée, Paris, Gallimard, 2022.

    JACOB ISRAËL DE HAAN, Ménage à deux, chapitres 1, 2 et 3 du roman Pijpelijntjes (1904), publiés en ligne.

    SOFIE LAKMAKER, L’Histoire de ma sexualité, prologue et chapitres 1 et 2, publiés en ligne.

    KOEN SELS, Gloria, extrait du roman paru aux éditions het balanseer, Gand, 2019, non publié.

    NADIA DALA, « Livrées à elles-mêmes », deux extraits du roman De Biecht, publiés en ligne (01/04/2021).

    MICHIEL JANZEN, « Cible Eisenhower », les 3 premiers chapitres du thriller
    Hitlers Geheime Ardennencommando (Ardennes 1944 : le commando secret d’Hitler, 2019), publié en ligne (09/02/2021).
     
    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, « Mon petit animal de luxe », chapitre 27 du roman Mijn lieve gunsteling, publié sur les-plats-pays.com.

    ADRIAAN VAN DIS, Quand je n’aurai plus d’ombre, Arles, Actes Sud, 2021.

    FREDERIK VAN EEDEN, Des Lacs froids de la mort, chapitre 1, publié en ligne (09/01/2021).

    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, Qui sème le vent, Paris, Buchet/Chastel, 2020.

    STEFAN BRIJS, Taxi Curaçao, Paris, 10/18, 2020, n° 5615.

    STEFAN BRIJS, L’Année du chien, Paris, Héloïse d’Ormesson, 2020.

    LIEKE MARSMAN, Le contraire d’une personne, Paris, Rue de l’Échiquier, 2019.

    STEFAN BRIJS, « L’année du chien », in Deshima, n° 13, 2019, p. 259-267 (extrait du roman éponyme à paraître aux éditions Héloïse d’Ormesson).

    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, « Malaise, le soir », in Deshima, n° 13, 2019, p. 253-258 (extrait en prépublication du roman Qui sème le vent, éditions Buchet/Chastel).

    STEFAN BRIJS, Taxi Curaçao, Paris, Héloïse d’Ormesson, 2018.

    JAN BROKKEN, « Youri Egorov : le tragique destin d'un virtuose en exil », extrait du roman In het huis van de dichter, 2017.

    FRANK VANDE VEIRE, « Extrait du roman Bloeiende Agata », in Deshima, n° 11, 2017, p. 211-224.

    JAN FABRE, Journal de nuit II, 1985-1991, Paris, L’Arche, 2016.

    PHILIP MECHANICUS, Cadavres en sursis. Journal du camp de Westerbork, Paris, Notes de Nuit, 2016 (prépublication : « Westerbork. Vendredi 30 juillet », Septentrion, n° 1, 2015, p. 40-42).

    ADRIAAN VAN DIS, « Un grand maître spirituel », Septentrion, n° 2, 2016, p. 35-36 (prépublication d’un extrait du roman Ik kom terug à paraître aux éditions Actes Sud).

    STEFAN BRIJS, Courrier des tranchées, Paris, Héloïse d’Ormesson, 2015 (Folio n° 6463, 2018) (prépublication : « L’heure de l’ultimatum », Septentrion, n° 1, 2014, p. 10-12).

    ARTHUR JAPIN, Vaslav (extraits du roman), pour Ion, chorégraphie de Cindy Van Acker, Genève, Cie Greffe, 2015.

    WILLEM JAN OTTEN, Un homme par ouï-dire, Les Allusifs, 2014.

    ADRIAAN VAN DIS, Tête à crack, Actes Sud, 2014.

    JEROEN BROUWERS, Jours blancs, Gallimard, 2013 (prépublication d’un passage dans Septentrion, 2012, n° 1, p. 14-17).

    LEON DE WINTER, Le Droit au retour, Le Seuil, 2011.

    ABDELKADER BENALI, Le Tant attendu, Actes Sud, 2011.

    STEFAN BRIJS, Le Faiseur d’anges, Héloïse d’Ormesson, 2010 (prépublication dans Septentrion, n° 4, 2009, p. 56-60 sous le titre « Mordu par le diable »).

    WILLEM FREDERIK HERMANS, Ne plus jamais dormir, Gallimard, 2009.

    J. SLAUERHOFF, Le Royaume interdit, postface de Daniel Cunin, Circé, 2009.

    VONNE VAN DER MEER, Le Voyage vers l’enfant, Héloïse d’Ormesson, 2009.

    J. SLAUERHOFF, La révolte de Guadalajara, postface de Cees Nooteboom, Circé, 2008.

    ADRIAAN VAN DIS, Le Promeneur, Gallimard, 2008.

    WILLEM JAN OTTEN, La Mort sur le vif, Gallimard, 2007 (prépublication d’un passage dans Septentrion, 2007, n° 1, p. 29-31).

    WILLEM FREDERIK HERMANS, La Chambre noire de Damoclès, Gallimard, 2006 (prépublication d’un extrait dans Septentrion, n° 1, 2006, p. 36-38).

    VONNE VAN DER MEER, Le Bateau du soir, Héloïse d’Ormesson, 2006 (10/18 n° 4148).

    ANNELIES VERBEKE, Dors !, Mercure de France, 2005.

    VONNE VAN DER MEER, La Maison dans les dunes, Héloïse d’Ormesson, 2005 (10/18 n° 4036 sous le titre : Les Invités de l'île).

    STEFAN HERTMANS, À Merlebecque, 2005 (5 chapitres dont 3 en ligne).

    DAVID SANDES, La Méthode miraculeuse de Félix Bubka, Mercure de France, 2004.

    ADRIAAN VAN DIS, Fichue famille (roman en 60 tableaux dont l’un a paru dans la NRF, n° 564, janvier 2003, p. 198-203), Gallimard, 2003.

    LEON DE WINTER, La faim de Hoffman, en collaboration avec Philippe Noble, Le Seuil, 1996 (Points Seuil n° 1525).

     

    ROMANS JEUNESSE

     

    BART MOEYAERT, Sorry, Genève, La Joie de Lire, 2021. 

    BART MOEYAERTL’Oie et son frère, Genève, La Joie de Lire, 2018.

    BART MOEYAERT, La Création, Genève, La Joie de Lire, 2018.

    BART MOEYAERT, La rue des étoiles, Le Rouergue, 2013.

    BART MOEYAERT, Embrasse-moi, Le Rouergue, 2009.

    BART MOEYAERT, Frères, Le Rouergue, 2008.

    BART MOEYAERT, Oreille d'homme, Le Rouergue, 2006 (adapté pour la scène par le Théâtre des Trois Clous, Tours, 2013).

    BART MOEYAERT, C’est l’amour que nous ne comprenons pas, Le Rouergue, 2005.

    BART MOEYAERT, Nid de guêpes, Le Rouergue, 2005.

    ANNE PROVOOST, La Rose et le Pourceau, 2003 (début du roman, non publié).

     

     

    NOUVELLES – RECITS - CONTES

    Livres

    BIBI DUMON TAK, Une montagne de lettres pour saint Nicolas, De Dagen/bpost, 2011.

    EVELIEN VAN LEEUWEN, Modeste in Memoriam (récit autobiographique), Le Rocher, 2007.

    TOMAS LIESKE, Le petit-fils de Dieu en personne, Impasses de l’Encre, 2006 (trad. C. Mallet et M. Das sous la direction de D. Cunin).

    SIETSKE DE BOER, Années de plomb. Chronique d’une famille marocaine, Le Fennec, 2005.

    MARGA MINCO, T’as une sacrée chance toipostface de Dorian Cumps, dossier D. Cunin, Paris, Caractères, 2003.

    HAFID BOUAZZA, Les pieds d’Abdullah, Trouville/Mer, Le Reflet, 2003.

    LITTERATURE EN FLANDRE 33 auteurs contemporains, Bordeaux, Le Castor Astral, 2003 (« Hm » de Bart Moeyaert ; « Anguilles » de Jeroen Brouwers ; « Le beau laid, c’est pas si moche » de Tom Lanoye ; « Brikkeljon » de Leo Pleysier ; « Anna » de Walter van den Broeck).

    CEES NOOTEBOOM, Le matelot sans lèvres, Nantes, Le Passeur, 2002 (Folio n° 4234).

    AUX ORIGINES DU MONDE. Contes et légendes de Flandre, textes réunis et annotés par Marcel Van den Berg et Galina Kabakova, Paris, Flies France, 2000 (plusieurs textes repris dans différents volumes de la collection « La Caravane des Contes » chez le même éditeur).

    LOUIS COUPERUS, Les éventails - De ces Dames & des Femmes - Le jeune roy, Amsterdam, Éditions de la Baboulinie, 1993-1996 (3 éditions biblio- philiques).

     

    NOUVELLES – RECITS - CONTES

    Revues, Internet

     

    BAS HEIJNE, « Pas la bonne histoire », 2021, à paraître.

    JOSEPHA MENDELS, « Le cimetière rouge », à paraître.

    SIMON VESTDIJK, « La tour », Septentrion, n° 1, 2021, p. 145-146.

    SIMON VESTDIJK, « Lettre à Henriëtte van Eyk du 27 février 1946 (extrait) », Septentrion, n° 1, 2021, p. 138-139.

    ROB VERSCHUREN, « Le chant du shama », 2021, publié en ligne.

    ROB BVERSCHUREN, « La nébuleuse du Crabe », Deshima, n° 14, 2020, p. 99-110. 

    MARTHE VERELST, « À sa sœur, aux étoiles et à la lune », in NXT-TXT Awards 2020, Leverkusen, Amikejo, 2020, p. 115-124.

    GERARD REVE, « Vin », publié en ligne sur https://www.les-plats-pays.com.

    ABDELKADER BENALI, « Proust et la jambe de mon frère », publié en ligne sur https://www.les-plats-pays.com.

    ESTHER GERRITSEN, « Greenwich 1894 », publié en ligne sur https://www.les-plats-pays.com.

    CARMIEN MICHELS, « Une sortie avec Dr Pepper  », Bruxelles, Passa Porta, juin 2020.

    ABDELKADER BENALI, « Observer Mars à Marrakech. La Mamounia », in Marrakech noir, Casablanca, Éditions du Sirocco, 2020, p. 63-79.

    ADRIAAN VAN DIS, « Entrer en littérature par le nez », Saint-Nazaire, MEET, 2019, p. 129-132.

    JORDAN DOORNBOS, « Vieilles connaissances », in NXT-TXT Awards 2019, Aix-la-Chapelle, Amikejo, 2019, p. 99-106.

    ABDELKADER BENALI, « À Tanger, en compagnie d’Emmanuel », in Liter, n° 94, juin 2019, p. 36-49.

    KOEN PEETERS, « Promenade kinoise », in Conversations avec des lecteurs imaginaires, Bruxelles, PassaPorta, 2019.

    MARGRIET DE MOOR, « Deuxième fois », in Deshima, n° 10, 2016.

    KEES ’T HART, « Le mitrailleur », citybooks, 2015.

    SUS VAN ELZEN, « Une grande nostalgie », citybooks, 2014.

    MAXIM FEBRUARI, « Centre festif souterrain », citybooks, 2013. 

    TOM LANOYE, « Crime parfait », Deshima, n° 7, 2013, p. 241-256.

    FRANS KELLENDONK, « La girafe », Deshima, n° 7, 2013, p. 267-270.

    ATTE JONGSTRA, « La mort vient d’en bas. Promenades vénitiennes », citybooks, 2013.

    GUSTAAF PEEK, « 9 lettres à Maria M. », citybooks, 2013.

    SIMONE LENAERTS, « Un semblant de temps », citybooks, 2013.

    JEROEN VAN ROOIJ, « Labyrinthes », citybooks, 2012.

    J. SLAUERHOFF, « L’amphore », Septentrion, 2012, n° 4, p. 19-21.

    BART MOEYAERT, « Jusqu’à la tombée des pigeons », kab./C-Mine Expeditie, 2012.

    PASCALE PLATEL, « Yasmine Ben Mira », kab./C-Mine Expeditie, 2012.

    STIJN MEURIS, « Antipode », kab./C-Mine Expeditie, 2012.

    LUUK GRUWEZ, « En noir », kab./C-Mine Expeditie, 2012.

    TOMAS LIESKE, « Petit cheval », Deshima, n° 5, 2011, p. 157-163.

    WILLY SPILLEBEEN, « L’Escalier tournant », L’architecture pour la vie, La Lettre Volée, 2011, p. 83-89.

    BOB VAN LAERHOVEN, « Le Cœur ne se nourrit pas de mots », L’architecture pour la vie, La Lettre Volée, 2011, p. 209-218.

    HUBERT VAN LIER, « Le Bâtiment blanc à Vaulx-en-Velin », L’architecture pour la vie, La Lettre Volée, 2011, p. 171-176.

    HADEWIJCH, « Lettre 9. La neuvième lettre du recueil de la mystique Hadewijch », août 2010.

    LOUIS COUPERUS, « Les jumelles de théâtre » (p. 175-182), « Le jeune roi » (p. 183-191), « Incognito à Nice » (p. 199-204), « Le deuxième regard » (p. 205-211) et « Comment on écrit un roman » (p. 217-222),  Deshima, n° 4, 2010.

    ADRIAAN VAN DIS, « Après la cage, la jungle », décembre 2009.

    J. SLAUERHOFF, « L’agonie du vieux fou, entiché d’écriture », 2009.

    WILLEM JAN OTTEN, « Chronique d'un père qui devient fils », Deshima, n° 3, 2009, p. 433-449.

    VONNE VAN DER MEER, « L’Adieu à Phoebé », Deshima, n° 3, 2009, p. 423-431.

    ALEXANDER COHEN, « Un matin de mai à la mi-mars », 2009.

    K. SCHIPPERS, « Caché », Arts Le Havre 08, Biennale d’Art Contemporain, 7-30 juin 2008, p. 13-23.

    LOUIS COUPERUS, « Scheveningen » & « Les éventails », Deshima, n° 2, 2008, p. 155-158 et 207-210.

    ADRIAAN VAN DIS, « Langue libertine », Debout dans Babel. Langues en Europe, Ons Erfdeel, 2007.

    ADRIAAN VAN DIS, « Un quatrième étage à Paris (Carnet parisien) », Septentrion, n° 3, 2005, p. 39-45.

    ADRIAAN VAN DIS, « Monsieur Dubois (Carnet parisien) », Septentrion, n° 1, 2005, p. 53-55.

    ADRIAAN VAN DIS, « Vrai faux départ », meeting n° 3, 2005.

    DANIËL ROBBERECHTS, « Journal 01 09 69 – 12 0969 », A Prior Magazine, n° 20, Bruxelles, 2004, p. 266-270.

    ABDELKADER BENALI, « L’écrivain albanais », Tunis, L’Or du Temps, 2004, p. 15-18.

    HAFID BOUAZZA, « Archiviste », Po&sie, n° 103, mars 2003, p. 62-65.

    LOUIS COUPERUS, « Le deuxième regard », Passeport, n° 8, Nantes, Le Passeur, 2002, p. 31-33.

    HARRY MULISCH, « La Hollande pour débutants », Le Bulletin de Lettre internationale, 10, Arte Éditions/Mille et une Nuits, printemps 1998, p. 86-90.

     

    POÉSIE

    Recueils, Plaquettes & Anthologies

     

    TOM VAN DE VOORDE, Ta pesanteur ma chute alentie, à paraître.

    ANTOON VAN DEN BRAEMBUSSCHE,  Tout va, tout revient, à paraître.
     
    LUCEBERT, Poèmes, (anthologie), traduction en collaboration avec Kim Andringa, Nice, Unes, 2022.

    GERRIT ACHTERBERG, L’ovaire noir de la poésie, Clichy, Éditions de Corlevour, 2021.

    RADNA FABIAS, Habitus, Paris, Caractères, 2019.

    HESTER KNIBBE, Archaïques, les animaux, Nice, éditions Unes, 2019 (en collaboration avec Kim Andringa).

    GERRY VAN DER LINDEN, Fauves des villes suivi de Un croque avec Brodsky, Paris, Caractères, 2019.

    HADEWIJCH D’ANVERS, Les chants, édition de Veerle Fraeters & Frank Willaert avec une reconstitution des mélodies par Louis Peter Grijp, préface de Jacques Darras, Paris, Albin Michel, 2019 (avec 1 CD de poèmes chantés en moyen néerlandais).

    BENNO BARNARD, Le service de mariage, Bègles, Le Castor Astral, 2019 (collection « Les Passeurs d’Inuits »).

    BART VONCK, En perte, délicieusement, Bruxelles, Le Cormier, 2018.

    « Découvertes flamandes », in Traversées, n° 90, février 2019 (choix, préface et traduction des poètes Inge Braeckman, Guido De Bruyn, Dominique De Groen, Annemarie Estor, Peter Holvoet-Hanssen, Tijl Nuyts, Bart Stouten, Max Temmerman, Tom Van de Voorde).

    Poésie néerlandaise contemporaine, Bègles, Le Castor Astral, 2019 (traduction de poèmes de Benno Barnard, Hagar Peeters, Radna Fabias, Lieke Marsman, Marieke Lucas Rijneveld et Simone Atangana Bekono).

    « Cahier poésie néerlandaise », in Nunc, n° 47, printemps 2019 (choix, présentation et traduction, en collaboration avec Kim Andringa & Paul Gellings, des 12 poètes néerlandais invités au Marché de la Poésie 2019 de Paris).

    Mais sublime comme un canon, poèmes d’Armando, Maarten van der Graaff, Els Moors et Peter Verhelst, Guide du visiteur, Exposition « Facing the Future. Art in Europa. 1945-1968 », Bruxelles, BOZAR, 24 juin-25 septembre 2016.

    THEO VAN DOESBURG / I.K. BONSET, Poèmes, Bruxelles, BOZAR, 2016 (plaquette publiée dans le cadre de l’exposition « Theo van Doesburg. Une nouvelle expression de la vie, de l’art et de la technologie. 26 février-29 mai 2016 »).

    WILLEM VAN TOORN, Une cage à la recherche d’un oiseau (anthologie), liminaire de Benno Barnard, Bruxelles, L’arbre de Diane, 2016 (coll° Soleil du Nord).

    PELOTON FANTÔME (traduction de Schaduwpeloton), Utrecht, Magonia, 2015 (recueil trilingue publié à l’occasion du départ du Tour de France 2015, 13 poèmes de Ruben van Gogh, Els van Stalborch, Alexis de Roode, Ingmar Heytze, Mark Boog, Fred Penninga, Peter Knipmeijer, Baban Kirkuki, Peter Drehmanns, Onno Kosters, Nanne Nauta, Vrouwkje Tuinman et Jan van der Haar, traduction anglaise de Michele Hutchison).

    PAUL BOGAERT, le Slalom soft, Liège, Tétras Lyre, 2015 - prépublication de 11 poèmes dans la plaquette « Paul Bogaert », Fonds Flamands des Lettres, 2009, de 7 poèmes dans Deshima, n° 4, 2010, p. 269-278, et de 6 poèmes dans Action poétique, n° 202, décembre 2010, p. 68-73.

    « Voix poétique de Flandre », Nunc, juin 2015, n° 36 (poèmes de Anton van Wilderode, Christine D’haen, Hubert van Herreweghen, Claude van de Berge, Patrick Lateur, Peter Holvoet-Hanssen).    

    Inuits dans la jungle, juin 2015, n° 6 (dossier « Poètes des Pays-Bas » : poèmes de Guillaume van der Graft – Willem van Toorn – Hans Tentije – Hester Knibbe – Robert Anker – Eva Gerlach – Huub Beurskens – Willem Jan Otten – Benno Barnard, dont certains traduits en collaboration avec Kiki Coumans, précédés du poème « Awater » de Martinus Nijhoff traduit par Paul Claes).

    PETER VERHELST, Des bestioles chaudes entre les cuisses, in 6/6 Six films d’Orsola Valenti réalisés d’après six soli de Cindy Van Acker, Coffret DVD, Genève, Cie Greffe, 2015.

    LUCEBERT, BERT SCHIERBEEK & SIMON VINKENOOG, « Poèmes », in EDY DE WILDE & ANDREA MÜLLER-SCHIRMER, Nono Reinhold. Grafiek. Gravures. Prints, Eindhoven, Lecturis & Peter Foolen Editions, 2013.

    POÈTES NÉERLANDAIS DE LA MODERNITÉ (1880-2010), anthologie sous la direction de Henri Deluy (poèmes de J.H. Leopold, Theo van Doesburg, G. Kouwenaar & Eva Gerlach – en collaboration avec Kiki Coumans –, J.J. Slauerhoff, H. Marsman, G. Achterberg, M. Nijhoff, Johan Andreas dèr Mouw, H.H. ter Balkt, Jaap Blonk, E. Jansma), Le Temps des Cerises, 2011.

    DIRK VAN BASTELAERE, Splash ! (anthologie), Les Petits Matins, 2011.

    LUCEBERT, ARMANDO, SIMON VINKENOOG, REMCO CAMPERT & BERT SCHIERBEEK, « Poèmes », in Pétra / Machu Picchu / Bolivie, coffret de trois livres de photographies de Nono Reinhold, Eindhoven, Peter Foolen Editions, 2010.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « 10 Poèmes », Printemps des Poètes de Namur, mars 2009, plaquette, Fonds Flamands des Lettres.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, Terre Mère et autres poèmes (plaquette), Berchem, Fonds Flamands des Lettres, 2005.

    LE CORTEGE FASTUEUX DE LA LANGUE. 18 poètes de Flandre occidentale (anthologie bilingue), Tielt, Lannoo, 2004 (poèmes de Gwy Mandelinck, Willy Spillebeen, Jan van der Hoeven & Guust Vermeille).

    ARJEN DUINKER, L’histoire d’une énumération (anthologie), Paris, Caractères, 2003.

    LITTERATURE EN FLANDRE 33 auteurs contemporains, Bordeaux, Le Castor Astral, 2003 (poèmes de Paul Bogaert, Dirk van Bastelaere & Peter Holvoet-Hanssen).

    LE VERRE EST UN LIQUIDE LENT 33 poètes néerlandais, Tours, Farrago, 2003 : poèmes de Jaap Blonk, Pieter Boskma, Arjen Duinker, Anna Enquist, Esther Jansma, Gerrit Kouwenaar, Marc Kregting & Erik Lindner.

    Po&sie, n° 103, mars 2003 (poèmes de Lucebert, Gerrit Kouwenaar, Arjen Duinker, Erik Lindner).

     

    POÉSIE

    Revues & autres

     

    PELUMI ADEJUMO, « Si seulement Walter rouvrait », Transpoesie 2021.

    CORINNE HEYRMAN, « transparent », à paraître.
     
    TOM VAN DE VOORDE, « Homo politicus », cycle de 14 poèmes, à paraître.

    STEVEN VAN DER HEYDEN, « Lignes de rupture » (cycle), Traversées, n° 99, 2021, à paraître.

    GERRY VAN DER LINDEN « Noyers-sur-Serein, 27 août 2020 », à paraître.

    RADNA FABIAS, « Sonnet », publié en ligne sur les-plats-pays-.com.
     
    LIEKE MARSMAN, « réunion de la journée », poème écrit à l’occasion de la fête nationale du Koningsdag, 27 avril 2021, Ambassade des Pays-Bas, Paris, lu par Adriaan van Dis, publié en ligne (01/05/2021).
     
    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, « Ça se résume à ça », « Tomber sans cérémonie », et « Envers et contre tout », 3 poèmes traduits pour le Festival Passa Porta, Bruxelles, avril 2021.

    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, « Tout habitable », poème écrit en réponse à la controverse Amanda Gorman / Marieke Lucas Rijneveld, traduction parue en ligne dans Marianne, 6 mars 2021.

    TOM VAN DE VOORDE, « Les barricades mystérieuses », poème publié sur Eurolitkrant
     
    LIEKE MARSMAN, « Tu es l’interviewer » et « Conversation avec T », publiés en ligne sur les-plats-pays.com.

    LIEKE MARSMAN, « Poésie », publié en ligne (28/01/2021).

    FRANS BUDÉ, « Chant de la Meuse », publié en ligne (25/01/2021).

    GERRIT ACHTERBERG, « Jean Giono », publié en ligne (24/01/2021).
     
    LIEKE MARSMAN, « Je n’en veux à personne » & « Que des devenirs », publiés en ligne (21/01/2021).

    JOES BRAUERS, « Le long des gueules noires, de la chaux et de Calatrava », Borderlines.

    GERRIT ACHTERBERG, « Le fou et le miroir » et « Beumer & Cie », publiés sur les-plats-pays.com.

    PAUL DEMETS, « Le temps qu’il fait », publié en ligne sur Passa Porta.

    ANTOON VAN DEN BRAEMBUSSCHE, « Dans les pas de Paul Celan » (cycle bilingue), Traversées, n° 97, 2021, p. 3-14.

    SCOTT ROLLINS, « Traduction » & « Paysage du désir », publiés en ligne (29/05/2020).

    ROLAND JOORIS, « Qu’à sa tête », publié en ligne (25/05/2020).

    I.K. BONSET, « 9 x B », (17/05/2020).

    STEVEN VAN DER HEYDEN, « Palliatif », 2020.

    ANTOON VAN DEN BRAEMBUSSCHE, « Corona », 2020.

    PETER VERHELST, « cycle », in Peter H. Waterschoot, Electric Boogie, Bruxelles, ARP2, 2020.

    CARMIEN MICHELS, « Jimmy », Bruxelles, Passa Porta, juin 2020.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Don Chisciotte della Danza valse à rebours », in Hors de Soi, Bruxelles, Bozar, 2020.

    MAXIME GARCIA DIAZ, « arrête un peu d’habiter la faim », Transpoésie, deBuren, 2020.

    LUCEBERT, « ruisseau » & « situation », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven, Peter Foolen, 2019, pp. 40 et 42

    BERT SCHIERBEEK, « sept chameaux », « silence » & « l’homme / en mouvement », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven, Peter Foolen, 2019, pp. 12, 44 et 58.

    SIMON VINKENOOG, « Pour l’homme », « cette promenade sans pareille » & « Bonjour enfants du soleil », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven, Peter Foolen, 2019, pp. 18, 26 et 50.

    EDNA AZULAY, « tout ce que je veux : du regard les oiseaux »,  DeBuren, mai 2019.

    PAUL BOGAERT, « Comment nous nous sommes », in La découverte de la poésie, Bruxelles, Les Midis de la Poésie & L’arbre à Paroles, 2019.

    HADEWIJCH, « Chant 9 », in Septentrion, n° 2, 2018.

    PAUL BOGAERT, « Ce n’est pas à moi de dire », in Septentrion, n° 4, 2018.

    MAX TEMMERMAN, « Voix d’ailleurs », in Phoenix, n° 28, printemps 2018.

    PAUL BOGAERT, « Ils nous ont bien entubés », in Jusqu’à ce que quelqu’un me calque (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2018.

    DEAN BOWEN, « quand », in Jusqu’à ce que quelqu’un me calque (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2018.

    DOMINIQUE DE GROEN, « La Papesse », in Jusqu’à ce que quelqu’un me calque (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2018.

    MARIEKE LUCAS RIJNEVELD, « Les loups », in Jusqu’à ce que quelqu’un me calque (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2018.

    TOM VAN DE VOORDE, « Kees Owens se meurt », in Cahier du refuge, n° 266, novembre 2017.

    TOM VAN DE VOORDE, « Triptyque du départ », in Cahier du refuge, n° 266, novembre 2017.

    HADEWIJCH D’ANVERS, « Chant 29 & commentaires », in Blessure de l’Alliance, textes réunis par Pierre Monastier, Clichy, Revue Nunc/Corlevour, 2017.

    BENNO BARNARD, « Poèmes », in Deshima, n° 11, 2017.

    ROZALIE HIRS, « Poèmes », in Gestammelte Werke. Gedichte, Berlin, Kookbooks, 2017.

    ANNEMARIE ESTOR, « Échographie », Ce qui reste, décembre 2016.

    HADEWIJCH D’ANVERS, « Chants 1 & 2 et commentaires », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    HADEWIJCH D’ANVERS, « Lettre rimée 16 », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    GERRY VAN DER LINDEN, « Choix de poèmes », Les Carnets d’Eucharis, mars 2016, p. 182-187.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Choix de poèmes », Les Carnets d’Eucharis, mars 2016, p. 173-181.

    TOM VAN DE VOORDE, « Poèmes », Deshima, n° 9, 2015, p. 265-275.

    FRANS BUDÉ, Chant de la Meuse, poème mis en musique par Jesse Passenier, Maastricht, Mater Mosa, mai 2015.

    PETER VERHELST, « 3 poèmes » (extraits du recueil de Wij totale clam)traduits dans le cadre de l’exposition « Echoes, Helmut Stallaerts meets the ING Collection », 19 mars - 14 juin 2015, ING Art Center, Bruxelles. 

    ROBERT ANKER, « Sept poèmes », Deshima, n° 8, 2014, p. 473-479 (en collaboration avec Kiki Coumans).

    PAUL CELAN, « Flocons noirs », in Benno Barnard, « Ode à personne », Pastoralia, octobre 2014, p. 244.

    PJEROO ROOBJEE, « Le jardin de l’amour », in Prose pour Rubens, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 10.

    ANNEMARIE ESTOR, « Les derniers mots de Bave-Molosse », in Prose pour Rubens, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 4-5.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Écoute, Cécile, les cerfs sortent du bois », in Prose pour Rubens, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 8.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Les porteurs », in poeti d’Europa, Istituto Italiano di Cultura de Paris, 2014, p. 11.

    GUILLAUME VAN DER GRAFT, « Parler à l’eau lente », mars 2014.

    TOM VAN DE VOORDE, « Trois poèmes : Demander à Shiva, Pendant ce temps dans la jungle, Le pique-nique des étrangers  » & « Un chercheur d’or m’explique », 2014.

    GUILLAUME VAN DER GRAFT, « 10 poèmes », Deshima, n° 7, 2013, p. 257-266 (en collaboration avec Fabrice Laforge).

    LUUK GRUWEZ, « La moustache de Flaubert », Deus ex machina, n° 142, 2013 (Le pot Belge), p. 7.

    F. STARIK, « N.N. » & « Dernier havre », Hoofddorp, Stichting Lira, 2013.

    JAN LAUWEREYNS, « Corroborazione », in Poésie pour Giorgio Morandi, Bruxelles, BOZAR, 2013, p. 7.

    MAUD VANHAUWAERT, « Cou », in Poésie pour Giorgio Morandi, Bruxelles, BOZAR, 2013, p. 10-11.

    GEERT BUELENS, « Massif (Temps de réaction) », in Guide du visiteur, exposition « Anish Kapoor – Large Mountain », 5 octobre 2013 – 5 janvier 2014, BOZAR, Bruxelles, 2013, p. 10.

    MARTIN REINTS, « Large Mountain », in Guide du visiteur, exposition « Anish Kapoor – Large Mountain », 5 octobre 2013 – 5 janvier 2014, BOZAR, Bruxelles, 2013, p. 14.

    ONNO KOSTERS, « Pesanteur et contrepoids » cytibooks, 2013 (en 2012, le poème « Alte Galerie, Schloss Eggenberg » a fait l’objet d’un poster accroché dans le métro bruxellois et exposé à la Gallerie Anspach). 

    GERRY VAN DER LINDEN, « Poèmes choisis », 2013.

    GERRIT KOUWENAAR, « Je n’ai jamais », janvier 2013 (traduit en collaboration avec traduction Lena Westerink, Yvonne Pétrequin, Ellen Le Lardic, Brigitte Zwerver-Berret & Vincent Folliet).

    J. SLAUERHOFF, « Compagnie de Mozambique » & « Vieux Coréen », Septentrion, 2012, n° 4, p. 22-26.

    ERIK LINDNER, « Charleroi » (10 poèmes), citybooks, 2012 (en 2014, le poème « Charleroi – VI » » a fait l’objet d’un poster accroché dans le métro bruxellois et exposé à la Gallerie Anspach). 

    HUUB BEURSKENS, « Le cabriolet », in Guide du visiteur, exposition « Contant Permeke », 11 octobre 2012 – 20 janvier 2013, BOZAR, Bruxelles, 2012, p. 6-8.

    H. H. TER BALKT, « La Belle au bois dormant », in Guide du visiteur, exposition « Contant Permeke », 11 octobre 2012 – 20 janvier 2013, BOZAR, Bruxelles, 2012, p. 15-16.

    ALFRED SCHAFFER, « À vue d’œil le jour s’est levé » & « À vue d’œil le jour tombe », in Guide du visiteur, exposition « Cy Twombly. Photographs 1951-2010 », 1er févier 2012 – 29 avril 2012, BOZAR, Bruxelles, 2012, p. 4-5.

    ROLAND JOORIS, « CY TWOMBLY : atelier », in Guide du visiteur, exposition « Cy Twombly. Photographs 1951-2010 », 1er févier 2012 – 29 avril 2012, BOZAR, Bruxelles, 2012, p. 15.

    BERNARD DEWULF, « Regarde », in Guide du visiteur, exposition « Cy Twombly. Photographs 1951-2010 », 1er févier 2012 – 29 avril 2012, BOZAR, Bruxelles, 2012, p. 17-18.

    ROZALIE HIRS, « Poèmes », Deshima, n° 6, 2012, p.363-372 (10 poèmes traduits par Kim Andringa en collaboration avec Daniel Cunin).

    VASALIS, « 10 poèmes », Deshima, n° 6, 2012, p. 373-382. 

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Sept poèmes », Deshima, n° 5, 2011, p. 319-327.

    HEDWIG SPELIERS, « Le nu provençal », mars 2011.

    JAAP ROBBEN, « Six poèmes », Deshima, n° 5, 2011, p. 329-334 (illustrations Benjamin Leroy).

    ASTRID LAMPE, « encore même endroit encore ma fourrure s’entrouvre », Peintures parlantes, Nocturne poétique autour de Cranach, 18 janvier 2011, BOZAR/deBuren.

    LUCIENNE STASSAERT, « En toutes mes fibres. Sur un autoportrait de Lucas Cranach », Peintures parlantes, Nocturne poétique autour de Cranach, 18 janvier 2011, BOZAR/deBuren.

    Stefan Hertmans, « Salomé tenant la tête de Jean-Baptiste, Cranach l’Ancien », Peintures parlantes, Nocturne poétique autour de Cranach, 18 janvier 2011, BOZAR/deBuren.

    HAN VAN DER VERGT, « Sur Le martyre de Sainte Catherine de Lucas Cranach », Peintures parlantes, Nocturne poétique autour de Cranach, 18 janvier 2011, BOZAR/deBuren.

    ANNA ENQUIST, « Jour d’hiver », août 2010.

    HANS ANDREUS, « Pour un jour de demain », août 2010.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Chant des Géants », texte d'une chanson interprétée par l’auteur, 2010.

    PAUL BOGAERT, « 7 poèmes (le Slalom soft) », Deshima, n° 4, 2010, p. 269-278.

    PAUL BOGAERT, « Piqûres », poème-vidéo, 2010.

    JAAP ROBBEN, « Comment nous sommes devenus voisins », Musée Valkhof, Nimègue, 2010 & « Toute l’eau vient-elle de nos chagrins ? », 2010.

    WILLY SPILLEBEEN, « La balançoire », février 2010.

    ERIK LINDNER, « L’auto-stoppeur et son accident (5 poèmes) », décembre 2009.

    RAMSEY NASR, « Je voudrais être deux citoyens », Passa Porta, 2009.

    GERRY VAN DER LINDEN, « Poèmes », Deshima, n° 3, 2009, p. 451-464.

    WILLEM JAN OTTEN, « BW-PLO », Deshima, n° 3, 2009, p. 450.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Quand Rimbaud tombe du ciel », juillet 2009.

    MARTINUS NIJHOFF, « Pierrot » & « Les soldats qui chantent », février 2009.

    MICHEL BARTOSIK, « 2 poèmes », février 2009.

    J. C. BLOEM, « Verlaine », février 2009.

    PAUL VAN OSTAIJEN, « Mélopée », février 2009.

    JAN ARENDS, « Je suis la soif », février 2009.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Cortège» et « Roza et la lune », in L'Europe en poésie de l’école au lycée, préface Xavier Darcos, CNDP, 2008.

    WILLIE SPILLEBEEN, « Poésie », in Luc Devoldere, Ces fleuves qui nous unissent. L’Escaut, la Meuse, l’Yser, la Lys, Ons Erfdeel, 2008.

    PETER HOLVOET-HANSSEN, « Poèmes », Action Poétique, n° 185, 2006.

    K. MICHEL, « Au-delà de Bredene », Septentrion, n° 1, 2005, réédité dans Un grand cru. 50 poèmes choisis par Jozef Deleu, Rekkem, Ons Erfdeel, 2015, p. 71.

    ALFRED SCHAFFER, « La description laisse encore beaucoup à désirer », Septentrion, n° 1, 2005, réédité dans Un grand cru. 50 poèmes choisis par Jozef Deleu, Rekkem, Ons Erfdeel, 2015, p. 83.

    ARJEN DUINKER, « Dix paires d’yeux pour Yang Lian », Neige d’août, n° 10, printemps 2004, p. 41-46.

    ARJEN DUINKER, « Six poèmes », Estuaire, n° 117, Outremont, Canada, février 2004.

    MENNO WIGMAN, « 4 poèmes », Septentrion, n° 3, 2004.

    HAGAR PEETERS, « Lettre », Septentrion, n° 3, 2004.

    MUSTAFA STITOU, « Anton », Septentrion, n° 3, 2004, réédité dans Un grand cru. 50 poèmes choisis par Jozef Deleu, Rekkem, Ons Erfdeel, 2015, p. 87.

    LEONARD NOLENS, « Je suis la lettre charnue », Septentrion, n° 1, 2004.

    MARTIN REINTS, « Retour au commencement », Septentrion, n° 1, 2004.

    ARJEN DUINKER, « Les désirs et les sens (poème à quatre voix) », Po&sie, n° 103, mars 2003, p. 28-35.

    ARJEN DUINKER, « Trois poèmes », Estuaire, n° 113, Outremont, Canada, février 2003, p. 33-36.

    LUCEBERT, « Le nom marqué » (cycle de poèmes), Po&sie, n° 103, mars 2003, p. 8-14.

    G. KOUWENAAR, « Regarde voir, ça a soufflé » (cycle de poèmes), Po&sie, n° 103, mars 2003, p. 15-20.

    ERIK LINDNER, « Deux séries » (10 poèmes), Po&sie, n° 103, mars 2003, p. 58-61.

    JAAP BLONK, « Week-end rando », Poem express, n° 50, Clermont l’Hérault, février 2003 (repris dans Action Poétique, n° 200, juin 2010).

    HESTER KNIBBE, « Retrouvailles », Septentrion, n° 3, 2003, réédité dans Un grand cru. 50 poèmes choisis par Jozef Deleu, Rekkem, Ons Erfdeel, 2015, p. 55.

    TED VAN LIESHOUT, « Comment ça s’appelle », poème diffusé sur carte postale, 2003.

    ANNA ENQUIST, « Poèmes sur l’enfance », lectures publiques, 2002 (non publiés).

    ARJEN DUINKER, « La signification de l’eau », Septentrion, n° 3, 2001.

    WILLEM VAN TOORN, « Hans Memling », Septentrion, n° 2, 1999.

    TOON TELLEGEN, « Dieu est apparu », Septentrion, n° 2, 1999.

    GWIJ MANDELINCK, « Le chevalet », Septentrion, n° 2, 1999.

    ESTHER JANSMA, « 5 poèmes », Noir sur Blanc, une anthologie de Henri Deluy, Fourbis, 1998, p. 265-268.

    ESTHER JANSMA, « 3 poèmes », Le Journal, Biennale Internationale des Poètes en Val-de-Marne, n° 20, juin 1997.

    ROBERT ANKER, « 3 poèmes », Septentrion, n° 4, 1997, p. 26-33.

    HERMAN DE CONINCK, « Là-bas » & « Traces de doigts sur la vitre », Septentrion, n° 3, 1997, p. 9-11.

    JUDITH HERZBERG, « 3 poèmes », Septentrion, n° 3, 1997, p. 44-47.

    MARGREET SCHOUWENAAR, « Poèmes »,  Septentrion, n° 2, 1997.

    DIRK VAN BASTELAERE, « 3 poèmes », Septentrion, n° 1, 1996, p. 38-42.

     

    THÉÂTRE

     

    JAN FABRE, The fluid force of love. Prelude, 2020 (non publié).

    JAN FABRE & JOHAN DE BOOSE, Peak Mytikas, 2020 (non publié).

    JAN FABRE JEROEN OLYSLAEGERS, Mount Olympus, 2017 (joué, non publié).

    JAN FABRE, Belgian rules, 2017 (joué, non publié).

    JAN FABRE, Écrivain de nuit (en collaboration), 2016 (joué, non publié).

    JEROEN BROUWERS, EMI (expérience de mort imminente), théâtre Walpurgis, 2011.

    CHARLEY TOOROP, Je n’ai qu’un seul seigneur et maître : mon travail - Charley Toorop dans ses lettres à Arthur Lehning, Monologue, lecture à l’Institut Néerlandais le 8 avril 2010 (non publié).

    STEFAN HERTMANS, Mind the Gap (1. Antigone), lecture au Festival d’Avignon 2005.

    WILLEM JAN OTTEN, Une neige (acte 3), non publié.

     

     

    LIVRES / ALBUMS ILLUSTRÉS

    (publiés aux éditions du Rouergue, Rodez, sauf mention contraire)

     

    BART MOEYAERT (texte) & WOLF ERLBRUCH (illustrations)La Création, Genève, La Joie de Lire, 2018.

    BART ROSSEL, Le Livre merveilleux des insectes, Tielt, Lannoo, 2017.

    GEERT DE KOCKERE (texte) & KAATJE VERMEIRE (illustrations), La Grande dame et le petit garçon, 2010.

    BART MOEYAERT (texte) & KATRIEN MATTHYS (illustrations), Le Maître de tout, 2008.

    GEERT DE KOCKERE (texte) & ISABELLE VANDENABEELE (illustrations), Prélude à un amour brisé, 2008.

    PIETER VAN OUDHEUSEN (texte) & GOELE DEWANKEL (illustrations), La Fille sans cœur, 2007.

    EDWARD VAN DE VENDEL (texte) & ISABELLE VANDENABEELE (illustrations), Frisson de fille, 2007.

    GEERT DE KOCKERE (texte) & NOKE VAN DEN ELSACKER (illustrations), Waouw! Petit Navire !, 2007.

    PIETER VAN OUDHEUSEN (texte) & ISABELLE VANDENABEELE (illustrations), Mon ombre et moi, 2006.

    BART MOEYAERT (texte), WOLF ERLBRUCH (illustrations) & WIM HENDERICKX (musique), Olek a tué un ours (album jeunesse + CD), 2006.

    ED FRANCK (texte) & CARLL CNEUT (illustrations), On se reverra ?, 2005

    EDWARD VAN DE VENDEL (texte) & CARLL CNEUT (illustrations), Pagaille, 2005.

    EDWARD VAN DE VENDEL (texte) & ISABELLE VANDENABEELE (illustrations), Rouge Rouge Petit Chaperon rouge, 2003.

    BART MOEYAERT (texte) & WOLF ERLBRUCH (illustrations), Moi, Dieu et la Création, 2003.

    GEERT DE KOCKERE (texte) & SABIEN CLEMENT (illustrations), Amourons-nous, 2003.

     

     

    ARTS – HISTOIRE (LITTERAIRE) - SCIENCES HUMAINES

    livres - catalogues

     

     
    BAS VON BENDA-BECKMANN, Après l’Annexe. Anne Frank et les autres occupants de l’Annexe après leur arrestation, Paris, Notes de Nuit, 2022.
     
    LUUK VAN MIDDELAAR, L’Europe géopolitique – actes et paroles. Quatre conférences prononcées au Collège de France dans le cadre du Cycle Europe au printemps 2021, Paris, à paraître, 2021.

    ARTHUR BRAND, Les chevaux d’Hitler. L’incroyable traque du dernier trésor du Troisième Reich, Malakoff, Armand Colin, 2020.

    BART VAN LOO, Les Téméraires. Quand la Bourgogne défiait l’Europe, Paris, Flammarion, 2020, en collaboration avec Isabelle Rosselin.

    LUUK VAN MIDDELAAR, Quand l’Europe improvise. Dix ans de crises politiques, Paris, Gallimard, 2018 (collection « Le Débat »).

    ED VAN DER ELSKSEN, Eye love you, Eindhoven/Amsterdam, Lecturis/Bas Lubberhuizen, 2016.

    TILL-HOLGER BORCHERT, Peinture flamande, Citadelles & Mazenod, 2014 (traduction des chapitres : Maître de Francfort, Joachim Patinir, Jan Gossart, Joos van Cleve, Pieter Brueghel l’Anclen, Pierre Paul Rubens, Antoine van Dyck, Jacob Jordaens, Jan Brueghel l’Ancien, Willem van Haecht).

    JAN DIBBETS, Domaine d’un rouge-gorge / Sculpture 1969, Brest, Zédélé, 2014.

    EDY DE WILDE & ANDREA MÜLLER-SCHIRMER, Nono Reinhold. Grafiek. Gravures. Prints, Eindhoven, Lecturis & Peter Foolen Editions, 2013.

    REM KOOLHAAS, MATHIEU LOMMEN & IRMA BOOM, Irma Boom – L’architecture du livre 2013-1986, Eindhoven, Lecturis, 2013.

    LUUK VAN MIDDELAAR, Le Passage vers l’Europe, Collection Bibliothèque des Sciences humaines, Gallimard, 2012 (en collaboration avec Olivier van Wersch-Cot).

    Hommage à l’art du dessin. Une sélection de dessins de la Collection Frits Lugt par Paul van der Eerden complétée d’un choix de dessins contemporains, exposition présentée à l’Institut Néerlandais, 12 mai - 4 juillet 2010, Paris-New York, Le Passage/Fondation Custodia, 2010 (textes de Marieke Wiegel, Mária van Berge-Gerbaud/Paul van der Eerden).

    TOINE HORVERS, Writing lecture, Paris, Christophe & Nathalie Daviet-Thery, 2010.

    EDY DE WILDE, CAREL BLOTKAMP, JEAN-CLARENCE LAMBERT, ANDREA MÜLLER-SCHIRMER, ELS BARENTS, HENDRIK DRIESSEN, JAN VAN ADRICHEM & HUIB SOWDEN, « Textes », in Pétra / Machu Picchu / Bolivie, coffret de trois livres de photographies de Nono Reinhold, Eindhoven, Peter Foolen Editions, 2010.

    MARJA BOSMA, Charley Toorop. Dessins. Lettres, catalogue de l’exposition présentée dans les salon de l’Hôtel Turgot, 18 février - 11 avril 2010, Fondation Custodia, 2010.

    Kiki Lamer – HEADS, Paris/Utrecht, Institut Néerlandais/Centraal Museum, 2010 (édition bilingue version anglaise Beth O’Brien/version française Daniel Cunin, textes de Rudi Fuchs, Marja Bosman & Marieke Wiegel/Jeanne Wikler).

    BART VERSCHAFFEL, Essais sur les genres en peinture : nature morte, portrait, paysage, Bruxelles, La Lettre volée, 2008.

    FRANK VANDE VEIRE, Prenez et mangez, ceci est votre corps, Salo ou les 120 jours de Sodome de Pier Paolo Pasolini, Bruxelles, La Lettre volée, 2008.

    AD PETERSEN, Sandberg, graphiste et directeur du Stedelijk Museum, Paris, Institut Néerlandais-Xavier Barral, 2007.

    LES MESSAGES DE LA DAME DE TOUS LES PEUPLES, Paris, Téqui, 2006 (en collaboration avec le père Jean-Bernard).

    LEO COPERS / GUY ROMBOUTS. Roskamstraat 13 (catalogue d’exposition), Bruges, Die Keure, 2004.

    BART VESCHAFFEL, à propos de Balthus. Le Roi des chats. Le regard sondeur, Gand, A&S/books, 2004.

    EMMANUEL WAEGEMANS, Histoire de la littérature russe, Toulouse, PUM, 2003.

    WILLEMIJN STOKVIS, CoBrA, Gallimard, 2001 (en collaboration).

    ANA TORFS, Du Mentir-Faux, Société des Expositions du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, 2000.

    HISTOIRE DE LA LITTERATURE NEERLAN- DAISE, (dir.) H. Stouten, J. Goodegebuure & F. van Oostrom, Paris, Fayard, 1999 (en collaboration).

    BART VERSCHAFEEL, Pygmalion ou rien. Œuvres photographiques de Jan Vercruysse, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, 1998.

    ISABELLA LANZ, Family Affairs, Amsterdam, Bevrijding, novembre 1998.

    Joos Verdegem (1897-1957). Een Vlaamse Parisien. Un Parisien flamand, Amsterdam, De Brakke Grond/Maison Descartes, 1997 (textes de Willem Elias, Katrine Noblesse & Cees Straus, traduction Philippe Noble & Daniel Cunin).

    PIET SWIMBERGHE & JAN VERLINDE, Vivre à Bruxelles, Lannoo, 1997.

    ERIK VAN DER SPEK, Une langue dans laquelle vivre. Portrait de la Nederlandse Taalunie, La Haye, NTU, 1996.

    HAROLD VAN DE PERRE, Van Eyck. L’Agneau mystique, Paris, Gallimard, 1996.

    ANDRÉE SCUFFLAIRE, JEAN DUGNOILLE & JOOST DE GEEST, Le Château de Belœil, Gand, Ludion, 1994.

    MUSEE ROYAL DE L’AFRIQUE CENTRALE TERVUREN, Thys van den Audenaerde (dir.), Gand, Ludion, 1994.

    LA SEDUCTION DES MASSES. Les années 30 en Belgique, Gand, CGER-Ludion, 1994 (en collaboration).

     

    ARTS – HISTOIRE LITTERAIRE - SCIENCES HUMAINES

    Articles

     

    MARCEL VAN DEN BOOGERT, « Un éclairage sur André Suarès : Louis Brun », 2021, non publié.

    LUUK VAN MIDDELAAR, « Le début de la perte de l’innocence », Nunc, n° 50 (Ukraine), mai 2021, p. 142-145.

    STEFAN HERMANS, « À première vue, il ne se passe rien… », préface à Gerrit Achterberg, L’ovaire noir de la poésie, Clichy, Éditions de Corlevour, 2021, p. 7-10. 

    WILLEM JAN OTTEN, « Sans Dieu, au comble du désarroi », postface à Gerrit Achterberg, L’ovaire noir de la poésie, Clichy, Éditions de Corlevour, 2021, p. 119-124.

    ERIC MIN, « Couleur deuil », postface à The House, photographies de Karin Borghouts, Gand, éditions Snoeck, 2021.

    RODERIK SIX, « Ricaner dans la nuit infinie. À propos de La Chambre noire de Damoclès », publié en ligne (21/03/2021).

    RACHIDA LAMRABET, « Le Renart nous appartient à tous », publié sur les-plats-pays.com.

    DELPHINE LECOMPTE, « Les femmes ont une poitrine à toute épreuve, les hommes un cœur noir », publié sur les-plats-pays.com.

    PAUL DEMETS, « Plus jamais d’après la Nature », publié en ligne sur Passa Porta.

    PAUL BOGAERT, « La plus belle tour de Belgique », publié en ligne (20/02/2021)
     
    PHILO BREGSTEIN, « Genèse de La Mémoire rognée », publié en ligne. (26/01/2021)
     
    W.G.C. BYVANCK, « Guillaume Apollinaire », publié en ligne.
     
    W.G.C. BYVANCK, « André Salmon », publié en ligne.
     
     
    ERIC MIN, « Schmalzigaug. Des années de vie et d’orgueil », publié en ligne sur les-plats-pays.com.
     
    ERIC MIN, « Le beau, c’est le laid. Le Paris de Jan Sluijters », publié en ligne (15/01/2021).
     
    EDDY DU PERRON, « Ma rencontre avec Valery Larbaud. (mercredi 2 mai 1934) », publié en ligne.
     

    RICUS VAN DER KWART, « La saison la plus longue. De cent jours de solitude et de zéro infection ou comment la NBA a pris la pandémie à bras-le-corps », à paraître.

    SIMON VESTDIJK, « Francis Jammes et ses quatrains », Cahiers Francis Jammes, n° 6/7, 2020, p. 165-176.

    ANDRÉA MÜLLER-SCHIRMER, « Introduction », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven Peter Foolen, 2019, p. 8.

    CAREL BLOTKAMP, « La photographie n’est pas intemporelle », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven, Peter Foolen, 2019, p. 31.

    CORNEILLE, « Journal du peintre Corneille en Éthiopie (extrait) », in Nono Reinhold, Le Voyage en Afrique, Eindhoven, Peter Foolen, 2019, p. 33.

    LUUK VANMIDDELAAR, « Pour une Europe visible et audible », Le Débat, n° 204, mars-avril 2019, p. 140-146 (en collaboration avec l’auteur).

    JEROEN OLYSLAEGERS, « La dernière chose qui prévaut : un nom », in Prose pour Bernard van Orley (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2019.

    MAX URAI, « Trop vieille pour une phase gothique dramatique », in Prose pour Bernard van Orley (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2019.

    MARC REUGEBRINK, « La Noce », in Prose pour Fernand Léger (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, février 2018.

    NIÑA WEIJERS, « L’Homme à la pipe », in Prose pour Fernand Léger (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, février 2018.

    TOM VAN DE VOORDE, « Introduction », in Jusqu’à ce que quelqu’un me calque (Guide du visiteur), Bruxelles, Bozar, 2018.

    MALIKA M’RANI ALAOUI & JENNY REYNAERTS, « 1884 et 1889 : George Hendrik Breitner à Paris. Flâneries et réactions », in Les Hollandais à Paris. 1789-1914, Paris, Paris-Musées, 2017.

    WILLEM JAN OTTEN, « Tarkovski », in Tarkovski, textes réunis et présentés par Franck Damour, Clichy, Corlevour, 2017.

    WILLEM JAN OTTEN, « Stalker », in Tarkovski, textes réunis et présentés par Franck Damour, Clichy, Corlevour, 2017.

    HUGO CLAUS, « Le monde de Karel Appel », in Karel Appel, Paris Musées, 2017.

    RUDI FUCHS, « La visite », in Karel Appel, Paris Musées, 2017.

    FRANK WILLAERT, « ‘‘On la suit, elle l’inaperçue.’’ À la recherche de Hadewijch, mystique brabançonne », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    VEERLE FRAETERS, « ‘‘Vois qui Je suis !’’ Les Visions de Hadewijch », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    ROB FAESEN, « Les Lettres de Hadewijch », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    RAYMOND JAHAE, « La lettre rimée 16 : une première approche de ka mystique de Hadewijch à travers son œuvre la moins connue », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    VEERLE FRAETERS & DAVID VERMEIREN, « ‘‘Une précurseuse du surréalisme.’’ La Hadewijch du peintre et poète Marc. Eemans dans le cadre de la revue Hermès (1933-1939) », in Nunc, n° 40, octobre 2016.

    JAN GERRIT VAN GELDER, « Symbolisme, réalisme et le Nouveau Mouvement au début du XXe siècle », Neil McWilliam, Constance Moréteau et Johanne Lamoureux (réd.), Histoires sociales de l’art. Une anthologie critique (vol. 1), Dijon/Paris, Les Presses du réel/INHA, 2016, p. 314-328.

    WILLEM BONGERS-DEK, « Avant-propos », in Mais sublime comme un canon, Guide du visiteur, Exposition « Facing the Future. Art in Europa. 1945-1968 », Bruxelles, BOZAR, 24 juin-25 septembre 2016, p. 1-2.

    LAURENS HAM, « Introduction », Poèmes de I.K. Bonset, plaquette publiée dans le cadre de l’exposition « Theo van Doesburg. Une nouvelle expression de la vie, de l’art et de la technologie. 26 février-29 mai 2016 », p. 1.

    BENNO BARNARD, « Communiqués de presse mythiques », liminaire à l’anthologie de WILLEM VAN TOORN, Une cage à la recherche d’un oiseau, Bruxelles, L’arbre de Diane, 2016 (coll° Soleil du Nord), p. 5-7.

    NIENKE BAKKER, « Maisons closes. Le bordel comme sujet moderne », in Splendeurs & misères. Images de la prostitution (1850-1910), catalogue de l’exposition 22 septembre 2015 - 20 janvier 2016, Paris, Flammarion/Musée d’Orsay, p. 118- 173.

    ROBERT LEMM, « Borges inquisiteur », Pastoralia, n° 8, 2015, p. 16-17.

    BENNO BARNARD, « Cher Cédric », in Cédric Gerbehaye, D’Entre eux, Marseille, Le Bec en l’air, 2015, p. 130-135.

    TOM VAN DE VOORDE, « Jean-Philippe Toussaint », in Les Belges. Une histoire de mode inattendue, Bruxelles, BOZAR, 2015, p. 3.

    JAN DE HEER, « Polychromie », in Le Corbusier - Mesures de l’homme, catalogue de l’exposition Paris, Centre Pompidou, 29 avril 2015 - 3 août 2015, p. 178-183.

    ELS MOORS, « Johann Sebastian Bach. Musique pour la gloire de Dieu et le délassement des âmes », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2015, p. 21-22.

    YVES PETRY, « Ludwig van Beethoven. Un homme tout de suite plus accompli », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2015, p. 23-24.

    WESSEL TE GUSSINKLO, « Anton Bruckner. Bruckner, le promeneur », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2015, p. 32-34.

    CHRISTOPHE VEKEMAN, « Sufjan Stevens. La douleur qui rend palpable Sufjan Stevens », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2015, p. 38-39.

    BENNO BARNARD, « Préface », dossier « Poètes des Pays-Bas », Inuits dans la jungle, n° 6, 2015, p. 3-6.

    ANNELIES VERBEKE, « Le sang », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 52-53.

    BENNO BARNARD, « Arthur, roi d'une île érotique (sur King Arthur de Purcell) », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 9-10.

    BART MOEYAERT, « Reine de la munificence (sur Cecilia Bartoli) », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 38-40.

    SASKIA DE COSTER, « Bonjour p'tit homme (sur la musique électronique) », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 13-14.

    MATTHIJS DE RIDDER, « Cher Roscoe Mitchell », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 18-19.

    PETER VERMEERSCH, « L’obscurité s’efface (sur la musique des Balkans », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 57-58.

    TOM VAN DE VOORDE, « Avant-propos » & « Notices », The Space Between the Notes, Bruxelles, BOZAR, 2014, p. 5.

    BENNO BARNARD, « Ode à Personne », Pastoralia, octobre 2014, p. 244-245. 

    X, « Voyage des les Pyrénées, II. À Orthez chez Francis Jammes. 1920 », Cahiers Francis Jammes, n° 2-3, 2014, p. 112-116.

    FRED LEEMAN, « Symbolisme et religion. Émile Bernard et le sens de l'art » & « Notices », in Émile Bernard 1868-1941, 16 septembre 2014 - 5 janvier 2015, Musées d’Orsay/Flammarion, 2014, pp. 10-21, 56-72, 80, 84-85, 90-98, 102, 106, 112, 124 et 194.

    SANDER PAARLBERG & HENK SLECHTE, « Introduction : Guillaume II, Roi des Arts », Une passion royale pour l'art. Guillaume II des Pays-Bas et Anna Pavlovna, Zwolle, WBOOKS, 2014, p. 15-29.

    ELLINOOR BERGVELT, « Les collections d’art et le musée du roi Guillaume II », Une passion royale pour l’art. Guillaume II des Pays-Bas et Anna Pavlovna, Zwolle, WBOOKS, 2014, p. 83-109.

    PAUL REM, « Meubles et objets décoratifs dans les palais de Guillaume II et d’Anna Pavlovna », Une passion royale pour l’art. Guillaume II des Pays-Bas et Anna Pavlovna, Zwolle, WBOOKS, 2014, p. 145-157.

    ANTON HERBERT, « Use Me » & « Genuine Conceptualism », expositions Herbert Foundation, 3 juillet - 8 novembre 2014, Gand.

    KOEN BRAMS, ULRIKE LINDMAYR & DIRK PÜLTAU, « La morte addosso. La production artistique (anonyme) d’Alessandro et de Schède (1966-1980) », exposition 3 mai 2014 – 29 juin 2014,  LLS 387 ruimte voor actuele kunst, Anvers.

    LUUK VAN MIDDELAAR, « Oui, l’Europe est politique », Le Monde, 23 mai 2014.

    ADRIENNE VAN VULPEN, « Tout voyage commence par un premier pas », Happinez,  n° 1, 2014, p. 8-13.

    DIRK MULDER, « Sur les pas du Bouddha », Happinez,  n° 1, 2014, p. 28-39.

    X, « Et si on éteignait », Happinez,  n° 1, 2014, p. 85-95.

    GEERTJE COUWENBERGH, « La magie de l’Esprit neuf », Happinez,  n° 1, 2014, p. 96-98.

    CHRISTINE PANNEBAKKER, « La fin, nouveau commencement », Happinez,  n° 1, 2014, p. 101.

    RINSKE HILLEN, « Albert Einstein, le curieux de Dieu », Happinez,  n° 1, 2014, p. 102-106.

    NIENKE BAKKER, «  Van Gogh l’épistolier » & « Neuf notices », in Van Gogh – Artaud. Le suicidé de la société, Paris, Musée d’Orsay / Skira, 2014, p. 46-61 et pp. 84, 92, 102, 144, 146, 150, 152, 158 et 170.

    NIENKE BAKKER, «  La violence tragique d’une tache noire », in Félix Vallotton. Le feu sous la glace, Paris, Musée d’Orsay, 2013, p. 142.

    JOOST VANDER AUWERA, « Jordaens, un artiste mal compris. État actuel de la recherche » et « Notice », in Alexis Merle du Bourg (dir.), Jordaans 1593-1678, Paris-Musées, 2013, p. 34-49 et  p. 104.

    DIRK VAN WEELDEN, « C’est fini, ça commence », Studio Paradiso. Max Natkiel, Voetnoot, 2013,  p. 599-603.

    TOM VAN DE VOORDE, « Postface » & « Les poètes », in Guide du visiteur, exposition « Anish Kapoor – Large Mountain », 5 octobre 2013 – 5 janvier 2014, BOZAR, Bruxelles, 2013, p. 18-19 et p. 20-22.

    SANDER PAARLBERG, « Les esquisses à l’huile d’Ary Scheffer », in Sophie Eloy (dir.), Esquisses peintes de l’Époque romantique. Delacroix, Cogniet, Scheffer…, Musée de la Vie romantique, 17 septembre 2013 – 2 févier 2014, Paris-Musées, 2013, p. 82 -89.

    ANSJE VAN BEUSEKOM & CAREL BLOTKAMP, « Piet Mondrian, Composition n° 5 avec plans de couleur 5, 1917 », in Angela Lampe (dir.) Vues d’en haut, Centre Pompidou-Metz, 2013, p. 116-119.

    TOM VAN DE VOORDE, « Postface » & « Les poètes », in Poésie pour Giorgio Morandi, Bruxelles, 2013, p. 15-16 et 17-19.

    GRAINDELAVOIX, « Muntagna nera »,Virgin Classics, 2012 (traduction du livret accompagnant le CD).

    PAUL ROTH, « Laissez-passer », in Charlotte Dumas, Companion. Polaroids 2002-2012, Filigranes Éditions / Institut néerlandais, 2012, p. 6-20.

    MARIEKE WIEGEL, « Postface » et « Notices », in Charlotte Dumas, Companion. Polaroids 2002-2012, Filigranes Éditions / Institut néerlandais, 2012, p. 106-110.

    JOHAN VANDENBROUCKE, « Le mémorial de papier de Jeroen Brouwers », Septentrion, 2012, n° 1, p. 9-13.

    STEFAN BRIJS, « Genèse du Faiseur d’anges », novembre 2011.

    CAREL BLOTKAMP, « Haut, bas, gauche, droite. Sur l’orientation des tableaux de Mondrian », Les Cahiers du Musée national d’art moderne, n° 114-115, hiver 2010/printemps 2011, p. 74-97.

    ERIK LINDNER, « Préface », in Poètes néerlandais de la modernité. Anthologie, Le Temps des Cerises, 2011.

    THEO VAN DOESBURG, « Esthétique-lumière et esthétique-temps (film) », De Stijl 1917-1931, Éditions du Centre Pompidou, 2010, p. 253-254.

    DE TERRE ET DE FEU, l’aventure de la céramique européenne, « 2 notices », catalogue d’exposition, Limoges, 2010.

    ROLAND JOORIS, « Solesmes » (sur Pierre Reverdy), Deshima, n° 4, 2010, p. 265-268.

    MARJA BOSMA, « Surtout, pas de principes ! », in Charley Toorop, Paris Musées, 2010, p. 12-77.

    CAREL BLOTKAMP, « Sous le Repas des Amis », in Charley Toorop, Paris Musées, 2010, p. 78- 89.

    WIM VAN SINDEREN, « Postface », in G.P. Fieret, Anvers/La Haye, Voetnoot/Fotomuseum Den Haag, 2010.

    RAYMOND J. BENDERS, « Solitude, ma mère» (essai sur W. F. Hermans), Deshima, n° 3, 2009, p. 465-477.

    GEERT MAK, « Le Mercator sapiens » (extrait), Passa Porta, 2009.

    Livret Bart Moeyaert, Éditions du Rouergue, octobre 2008.

    PAUL HUVENNE, « Cher Jan Fabre », in Jan Fabre au Louvre. L’ange de la métamorphose, Musée du Louvre/Gallimard, 2008, p. 15-19.

    HILDE HEYNEN, « L’inscription du genre dans l’architecture », Perspective, La revue de l’INHA, 2007, n° 4, p. 693-708.

    BART VERVAECK, « Respecter l’énigmatique : l’œuvre de Willem Jan Otten », Septentrion, n° 1, 2007, p. 25-29. 

    G.F.H. RAAT, « Telle une tumeur au cerveau : l’écriture romanesque de Willem Frederik Hermans », Septentrion, n° 1, 2006, p. 33-35.

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    REINIER SALVERDA, « Stendhal et les Pays-Bas », Septentrion, n° 3, 1996, p. 72-74.

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    GERDIN LINTHORST, « Le Festival international du cinéma de Rotterdam 1995 ou la primauté donnée aux réalisateurs », Septentrion, n° 2, 1995, p. 69-72.

    LUC FRANÇOIS, « La Belgique française (1792-1815) », Septentrion, n° 2, 1995, p. 76-78.

    HANS VANACKER, « Dolf Verspoor (1917-1994) : la traduction conçue comme un art », Septentrion, n° 1, 1995, p. 77-78.

    JEF LAMBRECHT, « Henri Evenepoel où la carrière éphémère d’un peintre talentueux », Septentrion, n° 4, 1994, p. 62-64.

    ERIK BRACKE, « L’art d’Henri-Victor Wolvens », Septentrion, n° 3, 1994, p. 66-68.

    LAURAN TOORIANS, « La réhabilitation de Marie de Hongrie aux Pays-Bas », Septentrion, n° 1, 1994, p. 72-73.

    RUDI WESTER, « La littérature de voyage de langue néerlandaise : un genre florissant », Septentrion, n° 1, 1994, p. 11-16.

    ANNE-MARIE MUSSCHOOT, « Les cent ans de ‘’Van Nu en Straks’’ », Septentrion, 1993, n° 4, p. 78-79.

    HERWIG TODTS, « Cobra : de retour à Liège », Septentrion, n°3, 1993, p. 65-66.

    HENK TE VELDE, « Le libéralisme en France, aux Pays-Bas et en Europe », Septentrion, n°3, 1993, p. 73-74.

    ERIK SLAGTER, « Corneille par lui-même », Septentrion, n°2, 1993, p. 12-17.

    JULEKE VAN LINDERT, « Kees Timmer ou l’admiration pour les animaux », Septentrion, n°2, 1993, p. 65-66.

    JEROEN VULLINGS, « Harry Mulisch : beauté, grâce et talent », Septentrion, n°1, 1993, p. 80-82.

    HENK VAN GELDER, « Jan Gerhard Toonder (1914-1992) », Septentrion, n°4, 1992, p. 80-81.

    PAUL VAN AKEN, « Cees Nooteboom : Philippe et les autres », Septentrion, n°3, 1992, p. 75-76.

     

     

    BANDES DESSINEES / ROMANS GRAPHIQUES

     

     

    Ben Gijsemans, Aaron, Paris, Dargaud, 2021.

    Aimée de Jongh, Taxi !, Saint-Avertin, La Boîte à Bulles, 2021.

    Milan Hulsing & Harry Mulisch, L’Attentat, Saint-Avertin, La Boîte à Bulles, 2020.

    Tobias Tycho Schalken, Eldorado, Bruxelles, FReMoK, 2020.

    Joost Swarte, « Grossartig Schmieren », préface à Milt Gross, Deux manches et la belle, roman graphique, Paris, La Table Ronde, 2019.

    Inne Haine, Le miracle de Vierves, Paris, Vraoum, 2017.

    Maarten Vande Wiele, ABBA cherche Frieda, Vraoum !, 2016.

    Mark Hendriks, Les Sentiers du Nirvana, Warum, 2016.

    Willy Linthout, Années de l’Éléphant, Presque Lune, 2015.

    Typex, Rembrandt, Casterman, 2015.

    Kamagurka & Herr Seele, Cowboy Henk. L’art actuel, Fremok, 2015.

    Simon Spruyt, Junker, Cambourakis, 2015.

    Barbara Stok, Vincent, Emmanuel Proust, 2015.

    NIX, Le Journal de Kinky & Cosy, Festival dAngoulême, VFL, 2015.

    Guido van Driel, Les visiteurs, L’agrume, 2014.

    Maarten Vande Wiele, Monsieur Bermutier, Casterman, 2014.

    Maarten Vande Wiele, I Fucking Love Paris, Casterman, 2014.

    Kamagurka & Herr Seele, Cowboy Henk. Histoire de la Belgique, Fremok, 2014 (prépublication des planches dans le quotidien belge Le Soir).

    Kamagurka & Herr Seele, Cowboy Henk, Fremok, 2013.

    Bangarang, magazine sur la BD flamande présenté à Angoulême, Fonds Flamand des Lettres, 2013.

    Joost Swarte, Total Swarte, Denoël Graphic, 2012, préface de Cris Ware, traduit par Lili Sztajn & Corinne Julve (anglais) & Daniel Cunin (néerlandais).

    Conz, Quelque part les Étoiles, Même Pas Mal, 2011.

    Ersel-Renot, Médée (I). La Toison d'or, Casterman, 2009.

    Ersel-Renot, Médée (II). L'Or de Byzance, Casterman, 2010.

    Ersel-Renot, Médée (III). L'Épée de Troie, Casterman, 2011.

    Ersel-Renot, Les Voiles (I). Orient, Casterman, 2011.

    Ersel-Renot, Les Voiles (II). Le labyrinthe, Casterman, 2013.

    Ferry-Jacques Martin, Bruges. Les Voyages de Jhen, Casterman, 2011 (texte de Marc Ryckaert).

    Steven Dupré, Midgard, I (L'Invasion / L'Évasion), Casterman, 2011 (en collaboration avec Marie-Fred Walravens).

    Randall.C, Les Somnambules, Casterman, 2009.

     

    SOUS-TITRAGE

    Épisodes 2, 6 et 8 de la série néerlandaise CapsClub (Le roi de pique), Innervision, Strasbourg, 2014.

     

     

    TRADUCTIONS NON PUBLIÉES

     

    J. BERNLEF, Éclipse (un extrait du roman).

    ANNA BLAMAN, « Mon propre moi ».

    ANET BLEICH, « Une histoire marquante sur la guerre traitée comme une chronique familiale » (à propos de De gestolen tijd de Philo Bregstein).

    F. BORDEWIJK, « Sur la tombe d’Aloysius Betrand » & « Éloge funèbre d'un vieux bon vivant, tenu par un de ses héritiers ».

    QUENTIN BUVELOT, « Une nouvelle aile pour le Mauritshuis ».

    C.C.S. CRONE, « Le trombone à coulisse ».

    ELSBETH ETTY, « Un fils s’efforce de se souvenir de ce dont son père s’efforce d’oublier » (à propos de De gestolen tijd de Philo Bregstein).

    ESTHER GERRITSEN, « Avant de me frapper ».

    SYLVIA HEIMANS, « À la recherche d’une famille perdue » (à propos de De gestolen tijd de Philo Bregstein). 

    STEFAN HERTMANS, « Vestiges sacrés ».

    MICHEL KRIELAARS, « Le sort a voulu que cette famille juive survive à la guerre » (à propos de De gestolen tijd de Philo Bregstein).

    DAVID SANDES, « Faim ».

    F. SPRINGER, « André Malraux au Bangladesh ».

    PIERRE VINKEN, « Les journaux d’Eillert Meeter (1818-1862) ». 

     

     

    CONTRIBUTIONS DU TRADUCTEUR

     
     
     
    « De vergeten Hagenaar. Fritz R. Vanderpyl », Argus, mai 2021, p. .
     
    « Recension : Claude-Henri Rocquet, Les Châteaux de sable, L’Isle-sur-la-Sorgue, le bois d’Orion, 2019 et Œuvre poétique complète. Tome 3 & 4. Art poétique. Petite nébuleuse. L’Arche d’enfance, postface de Jean-Luc Jeener, Bastia, éditions Éoliennes, 2020 », Nunc, n° 50, mai 2021, p. ??.
     
    « Quand le dédicataire d’un roman en achète tous les exemplaires pour les brûler. Pijpelijntjes de Jacob Israël de Haan », publié en ligne (06/05/2021)
     
    « Esprit curieux et curieux esprit. Simon Vestdijk (1898-1971) », Septentrion, 2021, n° 1, p. 132-137.

    « ‘‘Je n’écris pas, je gueule !’’ Premiers pas en compagnie de Fritz Vanderpyl », publié en ligne (21/04/2021).

    « Galerie Baudelaire. De quelques poètes et traducteurs et d’une Note de bas de page », publié en ligne (14/04/2021).

    « Livrées à elles-mêmes. La Confession de Nadia Dala », publié en ligne (01/04/2021).

    « Hollande, mon amour », Argus, n° 99, bimensuel amstellodamois, 30 mars 2021, p. 17. 

    « La sinistre comédie ou Mahomet trop al Dante », publié en ligne (25/03/2021).

    « Menacée de mort… à cause de Je vais vivre. À propos de la romancière Lale Gül », en collaboration avec Pierre Monastier, publié en ligne (24/03/2021).

    « Le virus racialiste et l’affaire Lale Gül », publié en ligne (23/03/2021).

    « Chantons avec ces gens-là ou la traduction comme l’une des voix / voies de l’exotisme », publié en ligne (06/03/2021)

    « Jean van Dongen : ‘‘L’Égyptien du Nord’’ », publié en ligne (10/02/2021).

    « Un monument. Poésies de Hans Faverey », publié en ligne (23/01/2021).

    « En niemand weet wat er staat », entretien avec Andrea Kluitmann, en ligne sur vertalershuis.nl

    « L’homme à trois têtes : Leo Vroman », publié en ligne ().

    « Max Jacob : réponse du berger à la bergère. À propos de quelques portraits ou Max Jacob & Cie scrutés par Eddy du Perron », publié en ligne.

    « Qui sème le vent, de Marieke Lucas Rijneveld », Le Matricule des anges, septembre 2020, p. 11.

    « ‘‘Cette immense civilisation’’ : les Pays-Bas qui habitent en moi », publié en ligne sur les-plats-pays.com.

    « Le Pays blanc. L’univers du romancier Rob Verschuren », publié en ligne (05/06/2020).

    « Signes de frontière. Le premier recueil de Scott Rollins », 28 mai 2020.

    « Jongkind et Nader. Petite histoire entre deux grands hommes », 28 mai 2020.

    « The Virgin Marino. Un roman d'Yves Petry », 24 mai 2020.

    « Coup de coeur (1). Le typhon Rob Verschuren », 23 mai 2020.

    « De literaire vertaler is een chef-kok », in Poëziekrant, n° 3, mai-juni 2020, p. 21.

    « Art poétique. Dialogue interrompu de Claude-Henri Rocquet & Daniel Cunin », in Claude-Henri Rocquet, Œuvre poétique complète 3 & 4, Bastia, Éditions Éoliennes, 2020, p. 27-130.

    « Het landschap van de polyfonisten. Over het boek van Paul Van nevel », EnjoyBeauty, printemps 2020, p. 21.

    « Xavier Marmier, lettres et gens de lettres de Hollande », Deshima, 2019, n° 13, p. 213-249.

    « Chaque lecteur façonne sa propre Hadewijch », Romaneske, 2019, p. 7-16 (entretien avec Tijl Nuyts).

    « Koen Broucke, la couleur pourpre d’un peintre-orchestre », in Septentrion, 2019, n° 4, p. 46-51.

    « Entretien avec Richard Rognet », in Nunc, n° 48, 2019, p. 22-29 (en collaboration avec Réginald Gaillard).

    « Les vies minuscules de Claude-Henri Rocquet» À propos de ses Œuvres poétiques complètes, t. 1. Aux voyageurs de la Grande Ourse, Bastia, Éoliennes, 2018 », in Nunc, n° 47, printemps 2019, p. 153.

    « Leeuwarden, trois fois capitale », in Septentrion, n° 1, 2018, p. 19-24.

    « Dossier Hadewijch d’Anvers. Aux sources de la mystique occidentale », in Nunc, n° 40, octobre 2016, p. 18-20.

    « Panorama 1938. Un demi-siècle de littérature néerlandaise », avril 2016.

    « Le tour d’adresse de Philip Mechanicus », liminaire à PHILIP MECHANICUS, Cadavres en sursis. Journal du camp de Westerbork, Paris, Notes de Nuit, 2016, p. 7-14.

    « Femmes poètes. Une ‘’suave magicienne’’ amoureuse de la Holland », mars 2016.

    « Les Sept degrés de l’échelle d’amour spirituel, réédition d’une œuvre de Jean Ruysbroeck dans la traduction de Claude-Henri Rocquet », mars 2016.

    « Là où il y a du textile, il y a des fantômes », postface au recueil le Slalom soft de Paul Bogaert, Liège, Tétras Lyre, 2015.

    « Voix poétiques de Flandre. Présentation », Nunc, n° 36, juin 2015, p. 109-110.

    « Les peintres d’Eric Min. Un entretien avec le biographe de James Ensor et de Rik Wouters », novembre 2014.

    « Le livre bleu nuit », novembre 2014.

    « Le peintre Thomas Cool », novembre 2014.

    « Fac et spera. Achille Millien traducteur des poètes d’expression néerlandaise », novembre 2014.

    « Au sujet de Mischa. Compte rendu de l’ouvrage de Jan Willem Regenhardt : Mischa’s spel en de ondergang van de familie Hillesum (Le jeu de Mischa et la fin de la famille Hillesum, suivi d’une postface sur l’œuvre musical de Mischa Hillesum par Leo Samama), Amsterdam, Balans, 2012 », NUNC, n° 34, octobre 2014, p. 33-34 (dossier Etty Hillesum).

    « Un Hollandais chez Francis Jammes », Cahiers Francis Jammes, n° 2-3, octobre 2014, p. 105-111.

    « Forces occultes aux Indes néerlandaises. Un roman de Louis Couperus lu par Alexandre Cohen », août 2014. 

    « Ruysbroeck selon Claude-Henri Rocquet. À l’occasion de la réédition de Ruysbroeck l’admirable », août 2014.

    « Métiers Divins. Jean de Boschère salué par Camille Mauclair », août 2014.

    « ‘‘L’illusion merveilleuse de nos rêves…’’ Quelques lignes de Frederik van Eeden », juillet 2014.

    « Un maître inconnu : Guido Gezelle. Guido Gezelle par Camille Melloy », juillet 2014.

    « L’Art de Félix Timmermans. Félix Timmermans selon Camille Melloy », mai 2014.

    « Un traducteur naturiste et crématiste : Andries de Rosa et la France », mai 2014.

    « Bagarre en pantoufles. Un épisode de la vie d’Alexandre Cohen », avril 2014.

    « Louis Couperus à Carthage. Un dandy pugiliste », avril 2014.

    « Isräel Quérido poète et guide. Henri Barbusse, préfacier et thuriféraire », mars 2014. 

    « Entre Psaume et Lucifer. Emanuel Hiel (1834-1899) », novembre 2013.

    « L’autre Van Dongen : Jean van Dongen, sculpteur et céramiste », octobre 2013.

    « Le Poète est mort, vive le Poète ! Le ‘‘Louis de Bourbon’’ hollandais », février 2013.

    « Petite leçon de traduction. Les premiers pas du traducteur Marcel Schwob », février 2013.

    « Rimbaud à Java : les ‘‘aventures épastrouillantes’’ d’un déserteur. À propos des sources hollandaises du livre de Jamie James », décembre 2012.

    « Louis Couperus à Ostende. Entre massages suédois et furoncles », novembre 2012.

    « Le retour de J. Slauerhoff en France », Septentrion, 2012, n° 4, p. 15-18.

    « Vasalis. Les mots, ces individus qui mènent leur propre vie », février 2012.

    « La Vengeance de Baudelaire. Un entretien avec Bob Van Laerhoven », janvier 2012.

    « Kruimels op de plank », Filter, tijdschrift over vertalen,  déc. 2011, p. 23-24.

    « Chez Victor Hugo (samedi 25 août 1877). De La Haye à Paris, par Jan ten Brink », suivi de : Jan ten Brink, « À la table de Victor Hugo », traduction de Betrand Abraham, décembre 2011.

    « Het werk van Willem Frederik Hermans: een algemeen overzicht van de Franse vertalingen en de receptie van La Chambre noire de Damoclès (2006) en Ne plus jamais dormir (2009) », 2011 (Tekst van een lezing gehouden op zaterdag 17 september 2011 ter gelegenheid van het symposium ‘W.F. Hermans. Ik heb altijd gelijk. 1951-2011’ (Schunck*, Heerlen).

    « Van Duinkerken tot Vlieland, van Hadewijch tot Hafid. De Nederlandse literatuur: indrukken van een Franse lezer », De Revisor, Halfjaarboek voor nieuwe literatuur 2, Querido, 2011, p . 133-144 (trad. Jan Pieter van der Sterre). (version française)

    « Le Tant attendu. Abdelkader Benali, maïeuticien », décembre 2010.

    « Enfants de roi. Entretien avec Caspar Visser ’t Hooft », novembre 2010.

    « Épître à Storge. Quand La Revue de Hollande accueillait O.V. de Lubicz Milosz », novembre 2010.

    « Un Hollandais papa d’un petit gorille. Jan Maas, héros d’un roman français décadent », octobre 2010 (sur Hémo d’Émile Dodillon, 1886).

    « Artiste fin de siècle. Carel de Nerée (1880-1909) », octobre 2010 (sur Christophe Karel Henri de Nerée tot Babberich).

    « Antonin Artaud, première. Quand La Revue de Hollande accueillait Artaud », octobre 2010.

    « La fidélité, ça suffit ! Roman-feuilleton des poètes-traducteurs », octobre 2010 (sur la traduction du poème The Unseen de Sarah Teasdale).

    « Le Voyage de Hollande. Poèmes d’Aragon », octobre 2010.

    « Le dernier vers du dernier poème. À l’article de la Vie », octobre 2010 (à propos de l’auteur Jacques-André Saintonge).

    « Hommage à Verhaeren. Francis Vielé-Griffin sur ‘‘le Grand Flamand’’ », octobre 2010.

    « Septentrion, automne 2010. Littérature au menu » octobre 2010 (sur le numéro 3, 2010, de la revue Septentrion).

    « La pétulante Flamande. La maîtresse flamande de Frédéric Mistral », septembre 2010.

    « ‘’Ô Mère-Flandre !’’ Prosper Van Langendonck et les Lettres flamandes, par Pierre Broodcoorens », septembre 2010.

    « Une page de Jean Lorrain. Monsieur de Bougrelon à Amsterdam », septembre 2010.

    « José Rodrigues Dos Santos, Het zevende zegel », De leeswolf, septembre 2010, p. 425.

    « Xavier Marmier et la Hollande (1). Sur les traces d’un grand voyageur », septembre 2010.

    « Une nouvelle de Cyriel Buysse. Le fils de bonne famille et les petites gens », septembre 2010.

    « Marées & Gens de Flandre : Maurice Gauchez, les pêcheurs d’Ostende & Maurits Sabbe », septembre 2010.

    « Un romancier populaire du XIXe siècle : Jacobus Jan Cremer (1827-1880) », août 2010. 

    « La Nation Hollandaise (1812). Coup d’œil sur un poème épique de l’époque napoléonienne », août 2010 (sur une œuvre poétique de Jan Frederik Helmers [1767-1813]). 

    « L’Énéide revisitée. Un chef-d’œuvre des lettres flamandes », août 2010 (sur Aeneas of de levensreis van sen man, un roman de Willy Spillebeen).

    « Contes de filles en fleurs. Un recueil de contes de Marita de Sterck », août 2010.

    « Auguste Clavareau (1787-1864), traducteur. Portrait de l’un des principaux traducteurs de littérature néerlandaise au XIXe siècle », août 2010.

    « Op zijn Frans », entretien avec Joost Glerum sur W.F. Hermans, Hermans-magazine, n° 75, juin 2010.

    « Le Seigneur de Peuplingues. Un roman psychologique à la Simenon », juin 2010 (sur le roman De Seigneur van Peuplingues de Willy Spillebeen).

    « Action Poétique & la poésie néerlandaise – premier inventaire », Action Poétique, n° 200, juin 2010. (version revue et augmentée)

    « L’enfer à la maison. Le premier roman de David de Poel », juin 2010 (sur le roman De buitenstaander).

    « Un Raspoutine flamand. Quand des hommes se réincarnent en marionnettes », juin 2010 (sur le roman Raspoetine de Guy Didelez).

    « Maurice de Guérin. La biographie du bicentenaire », juin 2010 (à, propos de Dichter naast God. Biographie van de romanticus Maurice de Guérin (1810-1839), de Hedwig Speliers).

    « Louis Couperus au musée Calvet : ‘‘C’est incroyable, c’est incroyable !’’ Un romancier hollandais au Musée Calvet en 1909 », juin 2010.

    « De leemte waarin God past », entretien avec Willem Jan Otten, De leeswolf, mai 2010, p. 246-247.

    « “De voortstromende openbaring.” Willem Jan Otten - Onze Lieve Vrouwe van de schemering : essays over poëzie, film en geloof », De leeswolf, mai 2010, p. 244-245.

    « Dame Voltaire à Anvers. Les polars de Hubert van Lier », mai 2010.

    « Avant-propos. Louis Couperus et la France », Deshima, n° 4, 2010, p. 5-8.

    « Henri Conscience, conteur des Flandres. L’auteur du Lion de Flandre vu par son traducteur », mars 2010.

    « La Chine de l’Europe. Un Immortel à propos des lettres hollandaises », mars 2010 (Edmond Jaloux sur la littérature des Pays-Bas).

    « En Hollande, d’André Germain. Un écrivain français rend visite à ses confrères hollandais », mars 2010.

    « Une histoire de la littérature flamande (1923) », mars 2010 (sur : André de RIDDER, La Littérature flamande contemporaine).

    « Fantômes en Flandre. Le triomphe de la mort ou la firme littéraire Teirlinck-Stijns », février 2010. 

    « L’Indonésie d’Augusta de Wit », février 2010. 

    « L’œuvre de Willy Spillebeen », février 2010 (avec un entretien vidéo avec l’auteur).

    « Barbe à papa. Le montreur de monstres », janvier 2010 (sur le roman Suikerspin d’Erik Vlaminck).

    « La vraie vie est absente. Sur Conversation avec Rembrandt de François Debluë », décembre 2009.

    « Traduire W.F. Hermans. Interview de Daniel Cunin par Anna van de Weygaert (2007) », décembre 2009.

    « Une grande figure du XIXe siècle hollandais : Joseph Albert Alberdingk Thijm (1820-1889) », décembre 2009.

    « Ne plus jamais dormir : un roman culte aux Pays-Bas », décembre 2009.

    « Stiletto Libretto : Pègre & Belles Lettres », décembre 2009 (sur un polar de Bavo Dhooge).

    « Nous n’irons plus au bois (1). Hélène Swarth (1859-1941) et la critique française », décembre 2009.

    « Pierre Michon selon Rokus Hofstede », novembre 2009 (entretien vidéo avec le traducteur néerlandais de Pierre Michon).

    « De Descartes à Marie NDiaye : entretien (vidéo) en français avec la traductrice néerlandaise Jeanne Holierhoek », novembre 2009.

    « Coq ou aigle ? Satire de la France et du peuple hollandais : Pieter van Woensel (1747-1808) », octobre 2009.

    « Le peintre Anton Mauve, par Ph. Zilcken », octobre 2009.

    « Un romancier français chez Louis Couperus : la préface de Maurice Spronck au roman Majesté », octobre 2009.

    « Le Cheval ailé. Quelques regards sur Psyché de Louis Couperus », octobre 2009.

    « Morceaux choisis - Édouard Rod. Quelques pages traduites de Hooft, Vondel & Cats », octobre 2009.

    « Aperçu des lettres hollandaises (1879). La littérature hollandaise, appendice de la littérature allemande », octobre 2009.

    « Louis Couperus par Renée d’Ulmès. Une visite chez Louis Couperus », octobre 2009.

    « Le Polar en Flandre (1). Les débuts : fin XIXe siècle - fin années 1970 », septembre 2009.

    « Le polar en Flandre (2). Le sursaut : années 1980-1995 », septembre 2009.

    « Le Royaume interdit. Macao, Camoes & la Chine », septembre 2009 (sur le roman de J. Slauerhoff).

    « Le matériau, c’est moi. Entretien avec la romancière Vonne van der Meer », septembre 2009.

    « Instantanés d’Australie », septembre 2009 (sur le roman Regarder le soleil d’Anne Provoost).

    « Petit portrait de Philippe Zilcken », septembre 2009.

    « Jozef Israëls, par Ph. Zilcken (1) », », septembre 2009.

    « Pitbull. Décharges d’adrénaline à Malines », septembre 2009 (sur un thriller de Deflo).

    « Mutilez-moi », septembre 2009 (sur le thriller Mutilations Patrick De Bruyn).

    « Alexandre Cohen : grandes lignes de la vie d’un autodidacte », septembre 2009.

    « Alexandre Cohen : les années anarchistes (1), (2), (3), (4), (5), (6) & (7) », septembre 2009.

    « L’enfant qui vous fait naître », juillet 2009 (sur L’Enfant ombre, de P.F. Thomése).

    « Dimitri Verhulst, Problemski Hotel », juillet 2009.

    « Jour de paie : le premier thriller d’Elvin Post », juillet 2009.

    « Une gloire de la Flandre. Le traducteur Charles Grolleau à propos de Guido Gezelle », juillet 2009.

    « Le Chapeau chinois : contes merveilleux pour mélomanes », juillet 2009 (sur un recueil de nouvelles de Theun de Vries).

    « Aux royaumes de Slauerhoff », postface à J. Slauerhoff, Le Royaume interdit, Belval, Circé, 2009, p. 177-185.

    « Rêverie dans Amsterdam. La carte postale de Francis Carco », mai 2009.

    « Un traducteur de Louis Couperus. Paul Eyquem, traducteur de néerlandais », mai 2009.

    « Instantanés aux Pays-Bas (1906). Le voyage d’Alphonse de Châteaubriant (1877-1951) dans la langue néerlandaise », mai 2009.

    « L’écriture romanesque comme un feu de tourbe : un entretien avec le romancier Tomas Lieske », mars 2009.

    « La Hollande amie. Estime et propagande : les relations franco-hollandaises durant la guerre 1914-1918 à travers quelques témoignages », mars 2009.

    « La grande inondation de février 1953 : un témoignage français », Deshima, n° 2, 2008, p. 55-60.

    « “La Hollande est un navire perforé” : Jean de La Varende et la nation tant chérie », Deshima, n° 2, 2008, p. 267-278.

    « Antwoord aan Joost Glerum », Hermans-magazine, n°64, sept. 2007.

    « Quand Hadewijch chante », Queeste 14, n°1, 2007, p. 89-94.

    « Hadewijch a-t-elle jamais été traduite », Queeste 11, n° 2, 2004, p. 216-220.

    « Les Pays-Bas durant la Deuxième Guerre mondiale et la persécution des juifs : un aperçu historique », texte paru en annexe in Marga Minco, T’as une sacrée chance, toi, nouvelles traduites du néerlandais par D. Cunin, postface de Dorian Cumps, Paris, Caractères, 2003, p. 97-116.

    « Hadewijch », article du Dictionnaire du Moyen Âge, PUF, 2002, p. 652.

    « De mond van Hadewijch », Gierick & Nieuw Vlaams Tijdschrift, n° 71, été 2001, p. 32-35 (vert. Jan Pieter van der Sterre).

    « De Songeson au Pain de terre », in Cahier Luc Dietrich, (dir.) Frédéric Richaud, Le Temps qu’il fait, 1998, p. 131-133.

    « De wonden van André de Richaud », postface à De wonde, traduction néerlandaise de La Douleur d’André de Richaud, De Bezige Bij, 1995, p. 163-168.

    « Entre pandemonium et pain de terre. Luc Dietrich au Pays des villes », Le Brouhaha, 1995.

    « Lettre amstellodamoise », Le Journal d’Ω III, n°0, 1993.

      

    COLLABORATION (à un titre ou un autre)

    AUX PUBLICATIONS SUIVANTES

     

     
    Emond Moirignot, Le Chant du bronze, Éditions de Corlevour, 2020.

    Du Mont-de-Piété au Crédit Municipal. Avignon 1610-2010. Quatre cents ans d’une histoire exceptionnelle, textes de Sylvestre Clap & Delphine Brihat, Archives de la ville d’Avignon, 2010.

    Magazine Speakers Academy, n° 1, 2010.

    Evelien Chayes, L’Éloquence des pierres précieuses. De Marbode de Rennes à Alard d'Amsterdam et Remy Belleau. Sur quelques lapidaires du XVIe siècle, Paris, Champion, 2010.

    Philippe Chiron, Treize à l’aise. Rugby à XIII : 26 ans d’anecdotes désopilantes et d’expressions populaires jubilatoires (ou petit manuel de grammaire et de philologie), Éditions du Colombier, 2008.

    Salim Jay, Dictionnaire des écrivains marocains, Paris Méditerranée-EDDIF, 2005.

    Dominique Caubet, Shouf shouf Hollanda ! Des artistes maroco-hollandais sur la scène culturelle néerlandaise, Tarik éditions, 2005.

    Een man van zaken, NLPVF, 2001 (recueil de 23 traductions d’un passage du roman Kaas de Willem Elsschot).

    Ted van Lieshout, Frère, trad. Véronique Roelandt, La Joie de Lire, 2001.

    Alexander Cohen, Brieven 1888-1961, bezorgd door Ronald Spoor, Prometheus, 1997.

     

    Daniel Cunin a enseigné le néerlandais et a été chargé de cours de traduction littéraire à la Sorbonne-Paris IV, Département de néerlandais. A dirigé plusieurs séminaires de traduction littéraire (Amsterdam, Anvers, Gand, Paris, La Haye, Utrecht, Liège, Louvain-la-Neuve, Nimègue, Arles…) A interviewé lors de manifestations littéraires plusieurs romanciers néerlandais (Hella S. Haasse, Kader Abdolah, Abdelkader Benali, Adriaan van Dis, Willem Jan Otten, Vonne van der Meer….). Collabore aux revues Septentrion (dont il est membre de la rédaction) et Deshima dont il a coordonné le numéro 4 (dossier : Louis Couperus et la France), été 2010. Anime le blogue http://flandres-hollande.hautetfort.com/.

    Prix des Lecteurs 2010 de Cognac et Prix littéraire des Lycéens de L’Euregio 2011 pour le roman Le Faiseur d’anges de Stefan Brijs. Prix James Brockway 2018 pour la traduction de poésie.

    Membre de la Maatschappij der Nederlandse Letterkunde et de la rédaction de la revue Septentrion.